Étiquette : Semflex

  • Brume – Semflex

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    Voilà les photos au Semflex du week-end dernier. Evidemment comme il pleuvait et qu’il y avait de la brume, j’ai exposé à 1/25 f5,8 (je suis assez limité sur le Semflex) comme j’avais plus qu’une Tmax 100. J’ai utilisé un pied et un déclencheur souple. Toutes les photos sont donc sous exposées… Voilà les scans des négatifs (tous les scans ont été fait et assemblé sous linux) :

    et les scans des tirages du labo photo. En scannant les négatifs j’ai préféré garder un aspect sombre et lourd, j’aimerais bien essayer de faire quelques tirages moi même pour voir ce que je peux en faire. Je trouve que les ciels sont sur-exposés.

  • Issoire

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    Quelques photos au Semflex d’Issoire et de la tour de l’horloge :

  • Jour de pêche…sunburn for dummies

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    Voilà les photos de la petite partie de pêche de dimanche au lac du Guéry. Le labo photo n’a pas pu faire les tirages parce qu’ils ont cassé leur passe vue donc il faudra que je leur porte les négas la semaine prochaine pour qu’ils me les fassent. Les scans sont pas tops comme ils sont en plusieurs morceaux, les réglages changent entre temps donc c’est pas très uniforme. Je reposterais les scans des tirages. Dans tous les cas, il apparait clairement qu’il ne faut pas que je secoue l’appareil dans tous les sens en déclenchant, il est un peu trop âgé pour avoir un stabilisateur.

    Voilà donc des photos floues et mal scannées :

  • Notre-Dame Du Port

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    A l’occasion du festival festi’Arts organisé par le Diocèse de Clermont-Ferrand, les Ateliers Photos exposent place de la victoire. On nous  donc demandé de faire quelques photos de la basilique Notre-Dame du Port ou de la cathédrale. J’avais déjà des photos de la cathédrale et aucune de NDP je me suis donc dit que c’était l’occasion (d’autant plus qu’en disant qu’on venait pour festi’Arts la part des Ateliers Photos, on avait le droit d’utiliser un pied photo et ça c’est la classe !). Je me suis dit que ce serait une bonne occasion d’exposer quelques photos et de faire des grands tirages. J’y suis resté jusqu’à une heure du matin hier pour faire trois tirages en 30×40, c’est super impressionnant, dans la boite y’a 10 feuilles de papier, elles fond un bon mm d’épaisseur et on a trop peur de se louper (et comme d’habitude j’ai merdé sur les marges de deux photos sur trois mais bon une fois encadré ça devrait aller). Au final je suis bien content du résultat, il faut juste que j’aille les encadrer ce soir.

    Tous ça pour dire, que j’ai acheté une pellicule en 120 400 iso et qu’armé de mon pied photo et de mon déclencheur souple gracieusement offert par le vendeur de mon Semflex, je suis allé faire des photos de la basilique Notre-Dame du port :

  • How to – 6×6 avec l'Epson V300

    Voilà une astuce pour scanner les négatifs en 6×6 avec un scanner à plat ayant un adaptateur destiné au 24×36. L’astuce fonctionne très bien sous Linux et le principe doit pouvoir être adapté à Windows.

    L’idée c’est de faire un adaptateur pour que le dos à transparent fonctionne correctement, de scanner en deux fois les négas puis de les assembler.

    Pour l’adaptateur, j’ai tout bêtement scanner celui du scanner en position diapo :

    Ensuite je l’ai imprimé grandeur réelle et  j’ai découpé la fenêtre diapo et le petit cadre supérieur. En le calant dans le scanner directement sur la vitre (côté noir en bas), ça permet au scanner de se repérer et de pas patiner dans le vide.

    On place ensuite le film en alignant le bord de l’image avec le bord du petit cadre du haut. En utilisant Xsane, on scanne la première partie de l’image (on retient les paramètres d’optimisation pour pouvoir reporter les mêmes sur la deuxième partie). Une fois scanné (comment un néga 24×36), on fait l’autre côté en décalant le néga et on passe à l’assemblage. On a donc deux images qui se superposent au centre.

    J’utilise Hugin avec Autopano activé pour faire l’assemblage, on charge les deux images (j’utilise les paramètres suivant : objectif rectilinéaire, focale à 70 mm), on le laisse chercher les correspondances, on centre, on optimise et on recadre. Hop y’a plus qu’à enregistrer en jpg le panorama créé et éventuellement à traiter l’image comme d’habitude (contraste, netteté, etc).

    C’est rapide, ça marche pas mal et c’est beaucoup plus économique que d’acheter un scanner à 500 euros !

    Voilà le résultat sur quelque photos (netteté renforcé et contraste automatique):

    C’est pas la panacée universelle mais c’est pas mal surtout pour les films couleur qu’on peut pas tirer aux ateliers.

  • Premier test du Semflex

    Bon, j’ai été chercher mes premières photos faites avec le Semflex. Verdict, l’exposition étant au pifométre, c’est plutôt pas trop mal. Je pense que pour la prochaine pellicule, j’emporterai mon srt comme cellule. Voilà un test de scan du néga (scanné en trois partie assemblée avec Hugin :

    Et voilà les scans des tirages. J’ai légèrement renforcé la netteté avec Picasa car ils étaient généralement un peu mou. Il me semble que ça vient surtout de ma map parce que la photo de la cathédrale avait un piqué pas mal. Je met les 12 photos pour donner une idée même si elles sont loin d’être toutes réussies (y’en a que deux ou trois qui me plaisent dans le lot…).

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  • Semflex Sem Standard objectif Som Berthiot 4,5

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    Mon Semflex est arrivé hier matin ! En plus j’avais avec un vieux pied photo et surtout, un déclencheur souple qui s’adapte aussi sur mon srt. Il s’agit d’un Semflex standard tout ce qu’il y a de plus classique (objectif Som Berthiot ouvrant à 4,5).

    Il est en bon état (sauf le cuir du viseur qui se décolle un peu mais ça devrait pas être trop de boulot de remettre ça en place), toutes les vitesses déclenchent et semble correctes.

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    J’ai donc commencé par un nettoyage en règle : l’extérieur (cuirs), démontage des objectifs et du dépoli pour enlever la poussière accumulée dans le viseur (ça c’était la partie super galère surtout avec les ressorts du viseur !!!). La housse en cuir de l’appareil est nickel.

    L’utilisation est très simple, on choisie la vitesse sur l’objectif ainsi que l’ouverture. Pour la mise au point, on ouvre le viseur, on regarde sur le dépoli

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    et on régle avec la molette sur le côté de l’appareil. Par contre, il n’y a pas ou plus de loupe de mise au point sur mon viseur – snif – ça complique les choses en plein jour.

    Je n’ai pas resisté à la tentation de le tester. J’ai donc était cherché une pellicule 120 (Ilford Delta 100) et ce midi à la pause déjeuné, une petite salade de tomate et hop en route pour quelques prises de vues (d’un autre côté, 12 pauses ça va vite). j’ai porté le rouleau au labo et ils m’ont dit de repasser le soir même.

    L’utilisation en conditions réelles et moins simple qu’il n’y parait. Il faut déjà charger la pellicule, c’est un rouleau de papier, on le met au bas de l’appareil à la place de l’ancien rouleau qui va servir à recevoir le nouveau film. On passe le bout du papier dans le nouveau rouleau et on enroule jusqu’à voir apparaitre une flèche. On ferme l’appareil et on avance le film en regardant par la petite fenêtre rouge jusqu’au numéro 1. Ensuite, il faut bien penser à chaque prise de vue à avancer le film, il n’y a pas d’automatisme !

    Il n’y a pas de cellule donc, il faut réfléchir aux réglages à utiliser. J’ai pris une pellicule de 100 Asa parce que mes vitesses allant jusqu’à 1/250 ème, je craignais la sur-exposition. J’ai utilisé la règle du f/16, on verra bien ce que ça donnera.

    Autre subtilité, la vue dans le viseur étant renvoyé par un miroir, elle est inversé. Pour le cadrage, c’est coton de partir dans le bon sens, il va me falloir un peu de pratique.

    Une foi la pellicule en place et le cadrage réalisé, on tente malgré l’éblouissement de faire la mise au point et de déclencher. Là, on se rend compte qu’on a oublier de remonter la petite manette qui charge le déclenchement. On arme, on re-cadre tant bien que mal, on déclenche, on espère !

    Au final, c’est tellement différent de ce que l’on fait d’habitude, zéro automatisme, pas de cellule, il faut penser à tout et prendre bien le temps composer, analyser la lumière, les réglages, etc. Je pense que c’est un super moyen de progresser. Par contre forcément, ma première pellicule risque fort d’être loupée. J’ai pas vraiment pris mon temps, j’ai plus qu’à espérer qu’il y aura quelques photos valables pour me rendre compte des capacités de l’appareil.

    Voilà quelques images de la bête :