Auteur/autrice : Clément Le Guyadec

  • Puy de Dôme et Cathédrale

    Juste pour le fun, deux photos supplémentaires après traitement des fichiers raw :

  • D7000

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    Ayant vendu mon Fujifilm FinePix S100 fs la semaine dernière, je suis depuis ce week-end l’heureux possesseur d’un Nikon D7000 équipé de l’objectif en kit (18-105). Franchement je suis trop content, le boitier est superbement conçu avec des boutons bien placés et configurables. C’est un plaisir d’utiliser les modes manuels, toutes les commandes tombent sous la main et le viseur est très confortable. Évidemment le boitier étant hautement configurable le mode d’emplois est assez énorme donc je suis encore dedans. Par contre je trouve que dans l’ensemble l’utilisation est instinctive et en activant quelques options, vraiment géniale.

    J’ai pas trop eu le temps de faire de belles photos (par contre j’ai beaucoup photographié mes pieds en testant les différents boutons….). Voilà quand même quelques images de ce week-end :

  • François-Régis Durand

    Le tape-cul continue, ou l'on retrouve la petite fille et son papa... Ou celle-ci lui rend son geste de tendresse. Tout comme jadis, la canne a sucre avait developpe l'esclavage, la construction des chemins de fer a Madagascar a pousse a l'essor des differentes formes du travail force. C'est a Gallieni que l'on doit d'avoir, entre 1896 et 1905, jete les bases d'un systeme suffisamment efficace et discret pour d'une part, susciter de nombreux emules en Afrique noire, et d'autre part, permettre de soutenir que le travail force n'avait eu qu'une importance mineure, voire qu'il n'avait pas existe... Cette pratique, a Madagascar, doit sa mise en place au portage et aux travaux routiers, mais les chemins de fer en ont sans doute bien profite. La monarchie merina avait repose sur l'esclavage et, pour les hommes libres, sur le fanompoana, la corvee. L'abolition du premier apres l'annexion du pays en aout 1896 eut pour resultat d'alourdir la seconde, ressuscitee sous le nom de prestations. Tel est l'objet de l'arrete du 21 octobre 1896 : tout Malgache male de 16 a 60 ans doit 50 jours de prestations a l'Etat. Un autre arrete, du 27 decembre 1896, vint completer le precedent : tout Malgache doit justifier d'une profession. Dans le cas contraire, il est repute vagabond, delit sanctionne d'une peine de travail force. Cette reglementation, un peu adoucie en 1898 - les prestations furent ramenees a 30 jours - livra a l'administration et a l'armee la masse de porteurs dont elles avaient besoin, in : Les chemins de fer de Madagascar (1901-1936) Une modernisation manquee  Auteur : Jean Fremigacci (http://www.cairn.info/revue-afrique-et-histoire-2006-2-page-161.htm)

    Juste pour parler de François-Régis Durand, un photographe que j’ai découvert dans Réponse Photo avec un sujet sur Madagascar. Il a remporté le prix SFR Jeune Talent et j’ai qu’une hâte, qu’il édite quelque chose. Il fait essentiellement des portraits en 24 mm et 85 mm et je trouve ses photos et le traitement qu’il applique assez magique. J’admire vraiment son travail dont voilà quelques extraits (toutes les photos sur http://www.francoisregisdurand.fr/):

    J’en profite aussi pour parler d’une autre initiative que je trouve intéressante, la maison d’édition In Libro Veritas. Ils ont fait le choix d’éditer en licence creative commons.

    On retrouve donc tous les livres classiques tombés dans le domaine publique et plein de nouveaux auteurs qui diffusent sous cette licence. Parfait pour découvrir de nouvelles choses ou revoir ses classiques. Les livres sont disponibles gratuitement pour la grande majorité d’entre eux en version pdf ou ebook (donc super bon plan pour les personnes qui disposent d’un livre électronique).

    On peut même faire éditer en version papier son propre livre en le composant à partir de textes disponibles sur le site (un seul livre ou même une compilation avec dédicace par exemple). A voir donc !

  • Les pirates et les ménestrels

    martin vidberg

    Hier dans la voiture j’ai entendu cette chronique de Thomas VDB sur Hadopi, les pirates informatiques et les ménestrels. Elle m’a bien fait marrer :

    [audio:https://www.rienadire.fr/wordpress/wp-content/uploads/THMVDB-15.11.2010.mp3]
  • Poipin

    Juste parce que je n’ai rien posté depuis un moment. Hier soir y’a ça qui m’est passé par la tête, un poipin, c’est un poission-lapin…pas vraiment d’explication sur le pourquoi @(^_^)@

    Sinon, j’envisage plus que très sérieusement de revendre mon Fuji FinePix S100Fs pour passer à la gamme au-dessus. Après moultes réflexions, je penche pour le Nikon D7000, j’aimerais quelque chose de solide et qui dure longtemps. En plus le D7000 est vendu en kit avec un 18-105 stabilisé qui me permettrait de couvrir plus ou moins toutes les situations dont j’ai l’habitude et qui a un diamètre de 67 mm (donc je garderais mon filtre polarisant et mon filtre UV).

    Le truc, c’est que le D7000 à un capteur DX donc qui ne couvre pas totalement le 24×36. Il faudrait que je prenne un appareil semi-pro et par conséquent (pour rester dans la même gamme de prix) choisir dans des appareils en fin de vie. J’hésite j’hésite, mais le D7000 à quand même 16 Mp et  semble bien tenir les hauts iso …

    J’attend avec impatience le dernier réponse photo qui inclura je l’espère un test du D7000, il n’y avait que le D3100 dans le précédent mais même s’il semble donner de très bon résultats, l’ergonomie du boitier me semble un peu trop limitante.

    A suivre…

  • Japan-event

    Kokeshi

    Ce week-end avait lieu à Clermont-Ferrand la première Japan-event au Polydôme. Organisé par une association de la Clermont, il y avait de tout, des boutiques mangas/vêtements/goodies divers et autres bidules japonnais. Il y avait même des stands d’art traditionnel (Bonsaï, Kimono, Origami, Kokeshi, …). C’était vraiment sympa, on pouvait participer à des jeux, des concours de cosplay et Nerdz était en dédicace.

    On à pu chanter (et danser pour les plus motivés) en coeur sur ça :

    C’était fun quoi ! Vu la fréquentation, je pense qu’il y a moyen que ce ne soit que la première d’une longue série.

  • Saint Michel Thuboeuf

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    On est allé se balader juste avant que le soleil ne se couche à Saint Michel Thuboeuf (Normandie). Je suis un peu blasé parce que je n’avais que mon compact et que la situation se prêtée à de bien plus belles photos mais bon, c’est déjà ça !

  • Xe – Les sociétés militaires privées

    Des membres de la société américaine Blackwater le 16 septembre 2007 à Bagdad
    Des membres de la société américaine Blackwater le 16 septembre 2007 à Bagdad – Patrick Baz AFP

    Sur la route samedi, j’ai eu l’occasion d’écouter l’émission « rendez-vous avec X » sur France Inter. Il s’agissait de la première partie d’une série d’émission sur Les sociétés militaires privées ou le néo-mercenariat. Vous pouvez l’écouter ci-dessous :

    [audio:https://www.rienadire.fr/wordpress/wp-content/uploads/2010/11/14726-30.10.2010-ITEMA_20250093-0.mp3]

    J’ai été vraiment impressionné par ce que j’ai appris et notamment concernant le mémorandum 17 de l’Autorité provisoire de la coalition, édicté par Paul Bremer, qui garanti aux employés l’immunité vis-à-vis du droit irakien. De fait, les SMP et Xe en particulier (anciennement Blackwater, mais la société à changée de nom en 2009, surement pour essayer de se séparer de son image sulfureuse) usent et abusent de ce droit. Ils n’hésitent pas à ouvrir le feu ou commettre toutes sortent d’infractions puis, à se retrancher derrière cette immunité (la plus grosse bavure étant la fusillade non justifiée ayant entrainée la mort de 17 civils irakiens…). Biens qu’ils refusent le nom de « mercenaires », les SMP représentent bel et bien une nouvelle forme de mercenariat. Le marché de la privatisation de la guerre est énorme et permet aux gouvernements (en l’occurrence américain) de se passer de l’assentiment du peuple, plus besoins de faire appel aux réservistes puisqu’il suffit de payer des SMP.

    Cette émission est édifiante sur le sujet et vous trouverez plus de renseignements aux adresses suivantes :

  • Tout a une fin, sauf la banane qui en a deux

    banane

    Il s’agit d’un proverbe Bambara (ethnie d’Afrique de l’ouest, principalement implantée au Mali mais aussi en Guinée, au Burkina Faso et au Sénégal dont le nom signifie « refus du maitre ») qui m’a particulièrement marqué et me revient régulièrement en tête.

    Tout a une fin, sauf la banane qui en a deux

    Il y a plein de proverbes africains très intéressants et tous plus mystérieux les uns que les autres :

    Celui qui se lève tôt, ne voit pas le lézard se brosser les dents.

    Qui nage dans le sens du courant fait rire les crocodiles.

    Qui avale une noix de coco, fait confiance en son anus.

    On peut en trouver toute une liste sur ce site :   http://www.salysenegal.net/senegalais/proverbes.htm.

  • Brume – Semflex

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    Voilà les photos au Semflex du week-end dernier. Evidemment comme il pleuvait et qu’il y avait de la brume, j’ai exposé à 1/25 f5,8 (je suis assez limité sur le Semflex) comme j’avais plus qu’une Tmax 100. J’ai utilisé un pied et un déclencheur souple. Toutes les photos sont donc sous exposées… Voilà les scans des négatifs (tous les scans ont été fait et assemblé sous linux) :

    et les scans des tirages du labo photo. En scannant les négatifs j’ai préféré garder un aspect sombre et lourd, j’aimerais bien essayer de faire quelques tirages moi même pour voir ce que je peux en faire. Je trouve que les ciels sont sur-exposés.

  • Prison Valley

    Prison Valley est un nouveau concept de documentaire produit par Arte et Upian. Il y à la fois le documentaire vidéo diffusé par Arte, mais aussi un « webdocumentaire » intéractif et un livre de photographies édité par Democratic Books et Arte édition. Philippe Brault, photographe, et David Dufresne, journaliste, nous plongent au cœur de l’industrie carcérale dans la ville-prison de Cañon City qui détient le record du monde d’établissements carcéraux par habitant.

    Le webdocumentaire est vraiment impressionnant. Il mélange photos et vidéos et textes le tout en permettant un maximum d’interactivité. A la maniére d’un jeu vidéo, on incarne le journaliste et on crée son propre parcours.

    On choisi ou l’on veut se rendre, les séquences que l’on souhaite voir ou encore les personnes que l’on rencontre.

    Pour chaque séquences, des bonus et interviews complémentaires se débloquent, on peut donner son opinion sur ce qu’on a ressenti et visualiser l’opinion des autres internautes.

    Il y a même un forum dédié pour échanger sur le documentaire.

    Je trouve ce concept vraiment intéressant et innovant. Dommage que le coût de ce type de reportage le rende si difficile à mettre en place…

  • Brume d’automne

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    Ce week-end du côté d’Issoire et du Vernet la Varenne. Il pleuvait mais j’ai aussi fait des photos avec le Semflex, on verra ce que ça donne mardi.