Catégorie : Actualité

  • La journée de l’eau et BFS

    La journée de l’eau et BFS

    Avant hier c’était la journée de l’eau, c’est vrai que la question de la ressource en eau potable s’est étonnement éclipsée face au pétrole et au CO². Voilà un clip pour nous le rappeler :

    Solidarités International et BDDP Unlimited veulent faire couler de l’encre from BDDP Unlimited on Vimeo.

    Le site de la pétition : http://votregouttedeau.org/

    Tant qu’on y est (et qu’on parle de pétrole), une autre nouvelle qui m’a interpelée : on commence à entendre parler du « pétrole bleu » déposé par la société BFS (Bio Fuel System). Il s’agit d’un procédé de création de pétrole à base de micro-algues.

    Ce qui est amusant c’est que le business modèle repose sur un éclatement de la production dans le sens ou, classiquement, un business plan se concentre sur le produit et cherche à le rendre rentable. Dans ce cas, le but est de créer de la biomasse puis de la convertir en pétrole. Dans la chaine de production on utilise en entrant le CO² d’usines par exemple, et on récupère des micro-algues que l’on transforme. Lors de la transformation on obtient le pétrole mais aussi d’autre composants comme des omégas 3.

    Le but c’est de rendre rentable le projet en vendant aussi bien le produit (« le pétrole bleu ») que les « déchets » ou pourquoi pas les crédits CO². L’idée est intéressante dans le sens ou c’est une autre conception du marché. Par contre je ne suis pas convaincu que la solution à « on à plus assez de pétrole » soit d’en créer à partir d’algue. Ça ne règle pas les problèmes de sur-consommation et on est pas prés de responsabiliser les gens et de réduire les émissions de gaz à effet de serre…. (ce qui est rassurant c’est que les rendements sont largement insuffisant pour le moment).

    Voilà le film de présentation de la société BFS :

     

    et le schéma de production :

    Pour plus d’informations :

    PS : c’est marrant parce que pour le business plan que j’ai fait avec des amis en 2ème année d’école d’ingénieur on avait eu l’idée de prendre la production de bio-carburant à partir de mirco-algues comme produit.

  • Variations

    Variations

    Hop, un petit post sur la variation. On commence par la variation de traitement numérique. C’est juste qu’en traitant cette image, j’ai fait plusieurs interprétation sans vraiment savoir laquelle retenir… Je crois que je préfère celle là mais sans certitude.

    Voilà les autres essais :

    J’aime bien celle là aussi, c’est un traitement que j’utilise régulièrement.

    En voilà encore deux autres :

    Et une autre variation (à la prise de vue cette fois ci) parce que je trouve qu’elle illustre parfaitement la problématique du choix de l’exposition dans l’interprétation photographique. Voilà trois photos prisent à Gergovie au même moment et à la même sensibilité  (ISO 400) mais à : 1/250 f 6,3

    à 1/25 f 6,3

    et enfin, la dernière prise de vue, celle qui correspond à mon choix d’exposition : 1/80 f 6,3

    La première correspond aux réglages préconisés par le posemètre de l’appareil, le second donne une interprétation totalement différente de la photo. Cela prouve l’intérêt du mode manuel plutôt que tout automatique. Ça peut éviter du temps de retouche sur ordinateur !

  • Le Sénégal après traitement et The Commonfield

    Le Sénégal après traitement et The Commonfield

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    Je commence par The Commonfield de Emerald Park [audio:http://www.rienadire.fr/player/mp3/The Commonfield.mp3] trouvé sur Jamendo comme d’habitude (tout l’album est bien)

    Je poursuis par le Sénégal. J’ai fait une sélection (pas vraiment drastique puisqu’il reste quasiment 130 photos) sur mes photos du Sénégal.

    J’ai ensuite pris le temps de les traiter en suivant les règles suivantes : augmentation du contraste local, diminution du contraste global, léger virage jaune, augmentation de la plage dynamique pour donner un effet HDR et récupération des hautes lumières. J’aime bien le résultat même si ça peut sembler assez poussé.

    En plus comme la qualité du livre couverture dure et papier mat de Blurb était vraiment excellente, je viens de finir un portfolio avec ces photos. Contrairement à mon album sur l’Inde ou je voulais surtout garder un souvenir du blog et du séjour là j’ai privilégié les photos. Donc, quasiment une photo par page, il me tarde de le commander.

  • Paths through Utopia

    Paths through Utopia

    J’ai commencé il y a quelque temps un livre-film intitulé « Les sentiers de L’UTOPIE » d’Isabelle Fremeaux et John Jordan aux éditions La Découverte. Pour ne pas faire compliqué, je cite la quatrième de couverture :

    À la fois récit de voyage et documentaire fictionnel, ce livre-film propose un périple réel et imaginaire, une exploration lancée à la découverte de formes de vie postcapitalistes.

    Pendant près d’un an, Isabelle Fremeaux et John Jordan sont partis sur les routes européennes, à la rencontre de celles et ceux qui ont choisi, ici et maintenant, de vivre autrement. Ils ont partagé d’autres manières d’aimer et de manger, de produire et d’échanger, de décider des choses ensemble et de se rebeller.
    Depuis un « Camp Climat » installé illégalement aux abords de l’aéroport d’Heathrow jusqu’à un hameau squatté par des punks cévenols, en passant par une école anarchiste gérée par ses propres élèves, une communauté agricole anglaise à très faible impact écologique, des usines occupées en Serbie, un collectif pratiquant l’amour libre dans une ancienne base de la Stasi ou une femre ayant aboli la propriété privée, ils ont découvert des Utopies bien vivantes dans ces interstices invisibles du système.

    De cette expérience a émergé Les Sentiers de l’Utopie. Le texte est un récit captivant, qui raconte la vie de chaque communauté, ses pratiques et son histoire. Le film, un docu-fiction tourné pendant le voyage, se présente comme un road-movie poétique situé dans l’avenir. Les personnages et les lieux circulent du livre au film et, pas à pas, laissent deviner, dans la brèche du présent, les scintillements d’un autre avenir possible.

    Le livre est vraiment un bel objet en lui même, il est illustré, contient des photos et les textes sont bien rédigés.

    Un film accompagne le livre, il vient compléter la lecture ou l’introduire (dans mon cas l’introduire puisque j’ai regardé le film avant de débuter le livre). Voilà le trailer du film :

    Paths Through Utopias (trailer / french) from electronicsunset on Vimeo.

    Il y a également des sites internet qui accompagne le tout : l’ancien en anglais et le nouveau en français.

    J’en suis à peine à la moitié mais je dois dire que je suis impressionné par les différentes initiatives visitées. J’ai appris beaucoup de chose sur la permaculture, la guerre civile espagnol, etc. L’école anarchique en Espagne est juste fascinante ! En tout cas, je conseil la lecture de ce livre qui est passionnant.

  • Hank Drum, le retour !

    J’ai parlé il y a quelque temps des Hangs et de leur alternative bon marché: les Hanks drum. Comme j’avais bien envie d’en avoir un mais pas forcément de dépenser 300 euros pour l’acheter (ou plus en matériel pour le fabriquer…), j’ai décidé de tenter quelque chose. J’ai donc recherché un moyen économique d’en bricoler un et voilà le résultat. Le son est sympa et la vidéo prise avec mon appareil photo ne lui rend pas vraiment hommage (en plus comme je suis particulièrement peu doué en rythme on doit pouvoir faire bien mieux avec ce type d’instrument).

    L’instrument est construit à partir de deux culs de poule trouvés au rayon saladier à Géant Casino pour 3,8 euros. J’ai découpé à l’aide d’une scie à métaux des lamelles de tailles différentes sur le haut (c’est la partie dangereuse de la fabrication).

    Je me suis concentré sur une demi-sphère pour les notes parce qu’en faisant tout le tour c’est plus dur de jouer. Par contre ça peut permettre d’avoir plus de notes. Plus la lamelle est courte et fine plus le son est aiguë. Pour l’accordage, c’est au pifomètre. Je taille une lamelle, je tape dessus pour voir le son et je re-taille jusqu’à avoir un truc cool.

    Pour la caisse de résonance, j’ai pris le second cul de poule que j’ai percé. J’ai ensuite assemblé les deux parties à l’aide de colle néoprène (j’ai essayé avec de la glue mais c’est trop sec et le son devient plus métallique).

    Voilà une petite vidéo du résultat. Comme je l’ai dis le son est quand même un peu plus ample en vrai (et je ne sais pas jouer de percussions) :

    J’en profite pour dire que l’outil gratuit : videoToFlashConverter est vraiment nickel pour transformer simplement les vidéos .mov de l’appareil photo en .flv.

     

  • illusionisme et manipulation

    Je lisais un livre sur le mensonge et la manipulation (fort intéressant cela dit en passant) et j’ai été amusé et intrigué par une technique développée par un illusionniste : la théorie de Tony Slydini. Il excellait tellement dans l’art de la diversion qu’il était capable de faire des méta-tours de magie. Le public voit le truc qui est gros comme une maison mais le spectateur sur scène ne comprend rien.

    Sa théorie est qu’il faut fixer un cadre visuel au spectateur pour l’habituer à regarder dans cette direction puis sortir brutalement du cadre pour détourner son attention (c’est bizarre ça rappel quelque chose).

    Voilà une vidéo d’archive ou ce tour est présenté :

    Et une autre application en illusionnisme de cette effet :

    http://www.youtube.com/watch?v=WLbmGKarZxk

    Dans ce livre, j’ai aussi appris que la série « Lie to me » repose sur les théories du professeur Paul Eckman qui propose sur son site un test, des logiciels et programmes d’entrainement au décryptage des micro-expressions.

    Et tant que j’y suis, des manipulateurs de cartes bluffant :

    http://www.youtube.com/watch?v=KbFNHVt5Yqw

    Une expérience de manipulation des foules (faire bloquer des gens dans un super marché). En plus Derren Brown est vraiment super balèze :

    http://www.youtube.com/watch?v=KTml6AY-1RQ

    Et pour finir un truc quasiment sans rapport, la chronique du comte de Bouderbala d’hier à « comme on nous parle » sur France Inter parce qu’elle m’a fait marrer.


    Brunel et Kadhafi dans un bateau par franceinter

  • Sénégal

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    Voilà les photos de mon séjour au Sénégal. 8 jours de voyage en circuit en commençant par la petite Côte. Nous sommes passé (dans le désordre) par le Delta du Saloum, le désert, Dakar, le Lac Rose, la langue de Barbarie, Saint Louis et l’île de Gorée.

    J’ai photographié en manuel, tout en jpg en utilisant le 18-105, le 35 et le 55-200. Je suis bien content du résultat. Par contre, il y a une différence flagrante à la visualisation des photos sur mon écran calibré ou non. Dons, je n’ai pas envie de les retoucher pour l’écran non calibré. Les photos sont donc brutes, sans retouche.

  • Quelques nouveautés

    Quelques nouveautés purement informatives (et quasiment sans intérêt à part pour moi…).

    On commence par le e-reader, ça faisait un moment que je lorgné du côté des e-reader avec encre électronique en particulier pour pouvoir lire en toute tranquillité un grand nombre de classiques tombés dans le domaine public ainsi que des documents pour le travail sans se fatiguer sur l’écran du pc. Mon problème était que je voulais que mon e-reader fasse wifi, baladeur mp3, qu’il ai pas mal de mémoire (ou qu’on puisse ajouter une carte mémoire), qu’il soit tactile, qu’il soit assez rapide, qu’on puisse changer la batterie sans le jeter…et le tout pour moins de 100 euros.

    Évidemment les e-reader remplissant toutes ces conditions coûtent plus de 200 euros. Sauf, que coups de bol, je suis tombé sur le Samsung E60. Il s’avère qu’il réuni toutes ces conditions et qu’il coûté 329 euros à sa sortie en France chez Carrefour. Le truc c’est qu’il n’a pas trouvé son public donc le prix a été baissé à 250 euros quelques mois après. Puis, pour les soldes, Carrefour à fait une promo : le E60 à 99 euros. Enfin, Samsung faisait une offre du 1 au 31 janvier, 50 euros remboursé sur le E60 en apportant le CB du carton et une preuve d’achat.

    Je suis tombé complétement par hasard sur un bac en promo à Carrefour vendredi dernier ! Donc je suis super content,

    j’ai ma liseuse pour 50 euros et elle remplie 100% de mes critères @(^_^)@

    En plus le firmware est déjà craqué donc le navigateur internet notamment est maintenant ouvert (à la base on ne peut aller que sur la boutique en ligne de Carrefour pour les ebook).

    Pour le détail et les adresses (firmware, ebooks, etc.) parce que même si la promo Samsung est fini, il reste à moins de 100 euros chez Carrefour :

    Sinon, voilà la liste des objectifs que je veux pour mon D7000 (note à mon intention pour éviter de la perdre):

    • Nikon Objectif AF-S DX Nikkor 35 mm f/1.8 G
    • Nikon Objectif AF-S DX 55-300 mm f/4,5-5,6 ED VR
    • Sigma Sigma 70mm F2.8 EX DG MACRO (un jour…)

    Pour finir, j’ai jouté deux morceaux à la playlist :

    [audio:http://www.rienadire.fr/player/mp3/Struttin’.mp3] et [audio:http://www.rienadire.fr/player/mp3/Breathe.mp3] de Tryad dont les albums sont excellent et que j’avais oublié en remontant mon blog.

    et ma découverte de la semaine :

    [audio:http://www.rienadire.fr/player/mp3/Push On.mp3] de Bella Ruse j’adore le morceau et l’album !

  • Carnet de voyage

    Depuis le temps que j’ai le projet de faire un carnet de voyage avec les photos de mon stage en Inde ! Il trainait sur mon pc quasiment fini depuis plusieurs mois, le voilà enfin terminé.

    Je viens de le commander sur Blurb et j’ai choisi l’option couverture rigide avec papier mat pour voir ce que ça donne.

  • Le Hang et ses alternatives

    Le Hang et ses alternatives

    Le Hang est un instrument de musique inventé en Suisse par Felix Rohner et Sabina Schärer en 2000. Il s’agit d’un instrument à percution inspiré du Steel Drum. La particularité des Hang de PANart et de vibré un peu comme les bols chantant tibétain ce qui produit un son ample est très agréable. Un petit exemple de ce que ça donne :

    Voilà un site très documenté avec en particulier les publications des inventeur du Hang sur sa conception, son accordage, etc. => Hangfan. Il y a tout ce qu’il faut pour concevoir un Hang (sauf la recette de l’alliage et surtout le coup de main !)

    Le problème c’est que ces instruments son tous fabriqués et accordés à la main en Suisse. Le coût est de 1200 euros et il y a plus de deux ans d’attente pour en avoir un neuf….

    Par conséquent, on a vu fleurir un certain nombre d’alternatives mais on reste dans la même gamme de prix (sauf pour la version française, le moins cher étant à 700 euros pour le six notes) avec des délais de l’ordre de 1 an et pas mal de liste d’attente fermés. Pour les alternatives les plus crédibles :

    Ce sont les alternatives les plus ressemblantes. En parallèle, on voit également les « Hank Drum » qui sont en fait des instruments percussifs à lamelles (donc beaucoup plus abordable mais évidemment bien moins agréable à entendre et à jouer je pense) :

    Ces instruments peuvent aussi produire un son très sympa et ils sont quand même 2 à 3 fois moins cher que les Hang (avec moins d’attente également). Il y en a probablement d’autres mais bon faut chercher !

    La dernière alternative est évidemment de s’en fabriquer un. Pour ça il faut s’armer de courage. A partir de la il y a encore plusieurs alternatives : partir sur un Hank Drum ou sur un Steel Pan.

    Le Hank Drum peut être fait dans toute sorte d’objet (bouteille de gaz, fut de 5 L de bière, chauffe eau, wok, ….). Plus la caisse de résonance choisie est solide plus il faudra de matériel (notamment pour la découpe et éventuellement la soudure). L’idée c’est de découper des lamelles puis de les accorder (soit en agrandissant le longueur de la lame de quelques mm voir 10ème de mm) soit en collant en dessous des aimants pour limiter l’amplitude de vibration.

    Voilà le plan pour les lamelles (sur une bouteille de gaz) :

    Vous pouvez trouver les explications sur le site de l’auteur et inventeur de cet instrument. Il est à l’origine du mouvement autour du Hank Drum (en plus son site regorge d’inventions et d’instruments de musique bricolés).

    Une vidéo de fabrication :

    C’est le principe. Après, si vous êtes soigneux, voilà ce que ça peut donner (ici y’a eu aussi de la soudure pour la forme quand même) :

    Un autre site avec le descriptif de la fabrication : Foundmusic.

    Les tank drum sont je pense assez accessible en terme de fabrication pour peu que l’on soit un minimum appliqué et patient.

    L’autre solution est de fabriquer un genre de Steel Pan, ça demande plus de travail mais le resultat sera plus proche du son d’un Hang. Voilà un exemple (l’explication de la fabrication est sur ce site) :

    Un autre exemple :

    Pour tout savoir sur le Steel Pan et son accordage, The Pan Page.

    Voilà voilà, que dire de plus ? Un blog très complet sur le Hang et ses alternatives : http://www.hangdrumsandhandpans.com/

    Et une dernière vidéo pour la route :

    Un autre site à consulter : David Charrier

  • Poladroid

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    Un petit logiciel en version Beta mais qui est bien marrant. Il permet de simuler un Polaroid !

    Il suffit de placer des photos sur l’appareil. Il en sort alors un polaroid. Il faut attendre que la photo se révèle et le résultat est assez sympa. Évidemment, on ne peut prendre que 10 photos d’affilé avant de fermer et relancer pour recharger l’appareil… Je trouve ça pas mal et ça peut donner des trucs cools. Pour l’adresse, c’est par ici.

    Et voilà quelques exemples :

    J’en profite pour parler de deux livres de Michael Freeman, » l’œil du photographe » et « l’art de l’exposition ». J’en parle parce que je trouve ces livres tout à fait pertinents et passionnants. D’autant plus qu’ils abordent l’aspect artistique et esthétique de la photographie plus que l’aspect technique et ça fait du bien ! En tous les cas, j’en recommande chaudement la lecture.

  • Nikon D7000


    Comme je l’ai dit, j’ai fait l’acquisition du D7000 après avoir vendu mon bridge fuji s100fs. Il s’agit de mon premier reflex numérique, je ne peux donc le comparer qu’avec ce que je connais c’est à dire mes reflex argentique Minolta et mon ancien bridge. Côté numérique, les reflex d’entré de gamme que j’avais pu prendre en main en magasin s’apparentaient assez à mon bridge fuji, totalement débrayablent mais pas vraiment fait pour (il fallait appuyer sur plein de boutons en même temps pour changer les réglages….). De ce point de vue, je trouve le D7000 particulièrement confortable à utiliser. Tout les réglages tombent sous la main et les deux mollettes pour la vitesse et l’ouverture sont accessibles simultanément d’une seule main. Je ne regrette donc plus la bague de diaphragme sur l’objectif ! Pour ce qui est de la qualité des images, je n’ai rien trouvé à redire pour le moment, il est à la hauteur de mes attentes. En plus, le format NEF est quand même largement plus reconnu que les fichier RAF de mon ancien fuji ce qui est un avantage non négligeable notamment sous Linux.

    Pour les réglages que j’ai adopté, je reste en mode A en permanence et je bascule en mode M si je veux plus de souplesse. J’ai deux cartes SD de 8 Go, j’ai configuré le boitier pour que les images soient prises en raw sur la carte 1 et en jpg sur la carte 2. De cette manière, je peux prendre environ 400 photos avant de vider la carte, je prend les jpg et je ne conserve que les fichiers raw qui me paraissent intéressant à traiter.

    Dans le menu, j’ai réglé la balance des blancs en auto2 pour conserver les teintes chaudes et j’utilise un mode Picture Control personnalisé avec l’accentuation à 4, le contraste en automatique, la saturation en automatique. Le contrôle automatique de la distorsion est activé ainsi que le D-Lightning en automatique et la réduction du bruit en normal. La sensibilité ISO est à 100 avec le contrôle automatique à 3200 et 1/60 vu que le D7000 gère bien le bruit. J’utilise la plupart du temps le mode AF-S avec un seul collimateur et la mesure pondéré centrale pour l’exposition. C’est ce qui s’approche le plus de mes habitudes argentique.

    J’ai aussi fait un certain nombre de réglages perso comme l’affichage de l’image après la prise de vue avec l’histogramme etc. Je trouve que le D7000 est vraiment souple pour la configuration. En tout les cas, il me convient bien !

    Je l’ai pris en kit avec l18-105 qui était semble-t-il assez apprécié et couvrait bien ma plage focale d’utilisation classique. Je pense investir prochainement dans une optique fixe. En premier lieu le Nikkor 35 f/1.8 puisque le 50 mm est ma focale préférée en argentique et que cet objectif est apparemment de très bonne facture pour un prix assez modéré. Je regarderais également pour le 85 mm manuel Samyang quand je me serais mis au portrait et du côté du Sigma 70-300 macro APO ou alors du Nikkor 55-300 qui est plus cher pour les balades en forêt…Enfin bon, tout ça viendra au fur et à mesure.

    Sinon, j’en ai profité pour acheter un trépied plus utilisable que ce que j’avais jusqu’à présent : le Vanguard MK2. Il est tout à fait abordable, suffisamment robuste et léger pour l’utilisation que j’en fait et, comme je ne suis pas super grand, suffisamment haut pour cadrer sans me baisser. En plus, il y a une platine de fixation rapide et ça c’est super pratique.

    Pour compléter le tout (et surtout en prévision du voyage au Sénégal), je me suis décidé à prendre un sac à dos photo. J’ai choisi celui de Cdiscount puisque les gens avaient l’air content et je comprend pourquoi. Il est pas cher en comparaison de ce qu’on trouve habituellement, il est bien fini, assez grand pour mettre l’appareil et du matériel à côté plus un ordinateur et encore d’autre choses. La ceinture ventrale peut être enlevé et il y a une bâche imperméable que l’on peut sortir pour protéger le sac. Il y a même des sangles pour le trépied ! Que demander de plus ?

    Après cet instant hautement publicitaire, on parlera de Hang la prochaine fois pour rêver un peu @(*_*)@

    Tiens, pour le fun, l’adresse du webdocumentaire(/pub pour Nikon) sur le voyage photographique de Vincent Munier en Norvège pour le projet Wild Wonders of Europe : Nordic Variation.