Catégorie : Linux

  • Photographie et Linux – Darktable

    J’en parlé hier, Darktable me semble être un logiciel libre particulièrement prometteur pour le développement de fichier Raw. Je vais essayer de passer en revue ses différentes qualités et le flux de travail qu’il propose.

    Tout d’abord, il est important d’installer la dernière version (soit en compilant soit par le ppa indiqué dans le billet précédent) parce que cette version apporte énormément de chose.

    Darktable se veut complet, de la gestion de collection au développement en passant par le traitement par lot. Il propose une « table lumineuse et une chambre noir ».

    1 – Visualisation et tri :

    En mode lighttable comme ci-dessus,vous pouvez choisir entre le mode « zommable lighttable » ou « file manager ». Dans le premier mode, vous visualisez les vignettes et avec la molette de la souris vous zoomez ou de-zoomez. Avec un clic gauche maintenu vous pouvez déplacer les vignettes pour centrer celle que vous souhaitez. On peut aussi déplacer les vignette à l’aide du clavier (z,q,s,d et a). En mode « file manager », les vignette apparaissent en colonne et la molette permet de défiler. La partie ligthtable permet l’import, le tri et développement en lot des photos.

    Voyons les outils mis à disposition :

    A gauche, l’import de « film » (dossier) ou d’image seule et les méta-données.

    A droite, on trouve les outils de tri et de développement en lot :

    1. Tagger : on crée un tag puis, on peut l’appliquer à une sélection.
    2. Historique : après avoir développer une photo en mode Darktable, on peut copier les paramètres de développement et les appliquer à une sélection de photos pour réaliser le même traitement.
    3. Images sélectionnées : supprimer, déplacer et dupliquer des photos.
    4. Exporter la sélection : développer les photos sélectionnées selon les paramètres définis précédemment.
    5. Sélectionner : agir sur la sélection.
    6. Collecter les images : filtrer les images affichées par film, données exif, tag, etc.

    Le mode lighttable est bien pensé, le zooming/de-zooming est très efficace et rapide. On peut attribuer des étoiles aux photos pour les filtrer. Lorsque l’on atteint le zoom max (une seule photo affichée), la touche « e » ou le double clic permettent de basculer en mode Darkroom (en la même chose pour revenir en mode lighttable).

    2 – Le développement des fichiers raw :

    Le mode Darkroom permet de faire beaucoup de choses et proposes quelques outils qui ne sont pas conventionnels.

    Sur la partie gauche, on retrouve l’historique, les métas-données ainsi que la possibilité de créer des « instantanés » avec des paramètres de développement spécifiques.

    A droite, on trouve tous ce dont on à besoin pour le traitement du fichier raw. Chaque outils peut être affiché ou pas et activé ou pas. On peut aussi définir les paramètres par défaut pour un appareil photo donné par exemple (très pratique pour ne pas re-créer la courbe ou la correction de netteté et bruit à chaque fois).

    L’histogramme est mis à jour en temps réel et on peut agir dessus. A l’aide d’un clic gauche, on peut déplacer l’histogramme (pour améliorer l’exposition par exemple) et un double clic le ré-initialise.

    Passons aux outils :

    • Accentuation;
    • Rotation et re-cadrage (d’un fonctionnement légèrement mystérieux…);
    • Distorsion de l’objectif;
    • Profile de couleur de sortie;

    Maintenant les outils un peu plus exotiques :

    La correction des couleurs, on trace un rectangle sur la grille de la taille souhaitée puis on le déplace ce qui à pour effet de modifier la teinte générale de l’image. Ca fonctionne très bien mais je ne sais pas trop comment ça marche.

    L’outil zones de couleurs permet d’agir de manière spécifique sur des teintes données. La molette permet de diminuer ou d’agrandir le pointeur et la zone grisée représente la déformation appliquée à la courbe lorsque l’on agit dessus. En tirant un point vers le haut, on sature cette teinte et vers le bas on dé-sature. On peut obtenir des truc sympas avec cet outil (et il y a d’autres modes de sélection).

    La classique courbe de ton.

    L’outil monochrome, bien pensé également, la molette permet de définir la taille du cercle. On le déplace ensuite sur la grille de couleur pour filtrer comme on veut.

    L’outil égaliseur fait parti des plus mystérieux bien qu’il soit très efficace. Basé sur le principe du « wavelet denoise », il permet d’agir finement sur l’image. Par défaut, on dispose des réglages automatiques suivant : accentuer la netteté, accentuer la netteté (fort), débruiter, débruiter (fort) et neutre. Il faudrait que je me penche sur son fonctionnement mais pour le moment je me contente des réglages par défaut.

    On trouve ensuite la gestion du profil de couleur d’entrée et la gestion de la courbe de base.

    Enfin, la balance des blancs, la correction d’exposition et les paramètres de dématriçage. On peut également voir l’onglet permettant d’afficher ou pas les plugins.

    3 – Conclusion

    Pour résumer le flux de travail avec Darktable :

    1. on copie les photos dans un dossier puis on l’importe dans darktable;
    2. on passe les photos en revue, on tag, on jette et on note;
    3. on ouvre une première photo pour définir les réglages par défaut puis on applique à toutes celles que l’on souhaite développer;
    4. on exporte notre sélection qui vient se placer dans un nouveau dossier dans le dossier d’origine;
    5. le cas échéant, on traite certaines images de manière plus pointue..

    Darktable est vraiment un outil bien conçu et efficace qui donne des résultats plus que satisfaisant pour le developpement de fichiers raw.

    Quant on sait que ce logiciel n’est pour le moment qu’en version 0.5 et au vu de la stabilité et de la puissance des outils proposé, on se dit qu’il ne peut être que prometteur !

  • Photographies et Linux – Nouveautés

    Toujours en quête de nouveaux logiciel pour la photo sous linux, je suis tombé sur Darktable. A mon sens, c’est le logiciel libre le plus prometteur pour le développement de fichier raw. De tous ceux que j’ai testé c’est celui qui correspond le mieux à mes attentes mais aussi, celui qui est le plus rapide sur mon pc.

    On peut le compiler (bien penser à installer les librairies dev…). Sinon, on peut trouver une version deb sur le ppa de Pascal de Bruijn. Pour installer le ppa :

    sudo add-apt-repository ppa:pmjdebruijn/ppa
    sudo apt-get update
    sudo apt-get install darktable

    J’en profite, sur ce dépôt vous trouverez également une version à jour de Ufraw compilée avec lensfun. Cette version apporte pas mal d’améliorations (pensez à bloquer la version si vous voulez garder Ufraw classique et éviter la mise à jour depuis le dépôt).

    Lensfun ajoute : la correction de distorsion des objectifs, la correction des aberrations chromatiques, du vignettage et des objectifs particuliers.

    Cette version apporte aussi : la possibilité d’afficher une grille et d’effectuer des rotations fines, une amélioration des outils de recadrage, la corrections des tons et de la luminosité, la suppression du bruit en jouant sur les différentes couches RGB et la suppression des pixels chauds. Par contre j’ai quelques soucis pour le traitement par lot… Finalement, la seule chose qui manque à cette version c’est le renforcement de la netteté. Vivement une nouvelle version officielle !

    Autre nouveauté intéressante à tester, la version intermédiaire de Gimp (The Gimp 2.7). Elle permet entre autre de travailler dans une seule fenêtre, avec les outils sur les côtés (on les masque en appuyant sur tabulation) et les différentes images dans des onglets. C’est franchement très pratique. ENcore une fois, vivement la version 2.8….

  • The Gimp -Vignettage

    J’en profite que je suis lancé pour faire un petit tuto sur le vignettage avec The Gimp. J’aime bien de temps en temps ajouter du vignettage à une photo pour la dramatiser un peu. Sous Gimp, voilà la manière que j’ai trouvé pour vignetter sans perdre tois heures.

    On commence par choisir une photo (evidemment…)

    On l’ouvre avec The Gimp, on fait les modifs souhaitées. Ensuite, j’ai créé un dégradé de Noir vers transparent appelé vignettage (dans l’onglet dégradé, copie du dégradé blanc vers noir puis, clic droit modifier, changer la couleur de droite en transparent puis déplacer la flèche centrale vers la gauche avant d’enregistrer, choisir le mélange sinusoïdale pour le segment).

    1. On ajoute un calque transparent
    2. On sélectionne l’outil dégradé avec les paramètres suivant : dégradé = vignettage (et on coche inversé ou on crée le dégradé directement dans le bon sens, comme on veut), dégradé radial (cf capture d’écran).
    3. On l’applique ensuite sur le calque transparent en partant du centre jusqu’au bord.

    Il ne reste plus qu’à régler  le niveau de transparence du calque. On peut également jouer sur le mode du calque et sur les autres paramètres du dégradé.

    Il existe d’autres méthodes (selection circulaire, dégradées en coin, etc). Mais c’est vraiement cette technique que je trouve la plus pratique.

    Voilà le résultat (exagéré pour la démonstration).

  • Ufraw

    Ufraw se présente de la manière suivante : sur la gauche les outils et sur la droite la prévisu.

    Ufraw est dispo en standalone ou en intégré à The Gimp. Perso je préfére la version Standalone comme ça je ne passe par The Gimp que si j’en ai envie.

    Voilà l’article de Gilbert Volker sur le lociel, il est complet et propose quelques tests comparatifs.

    En permanence, on dispose de la correction de la luminosité, de l’histogramme brut et dynamique avec indicateur de sur/sous exposition. Les petites roues crantées ajuste de manière automatique le paramétre (pas toujours efficace).

    Les autres outils sont rangée dans les onglets :

    Le mélangeur de couche pour un traitement en noir et blanc.

    La courbe générale (elle reste fixe et s’applique à une série d’image). Elle doit être correctement paramétrée pour que le rendu soit bon, je mettrais en fin d’article un lien contenant la courbe pour le Finepix S100fs ainsi que le profil colorimétrique de l’appareil.

    La gestion des couleurs ou l’on configure le profil d’entré de son appareil, le profil de sortie et l’affichage.

    Gestion de la saturation, du point blanc, du point noir et courbe spécifique à l’image.

    Gestion de la taille de l’image, recadrage et redressement.

    La gestion des paramétres de sortie (format de fichier, enregistrement des réglages, etc).

    Le dernier onglet affiche les données exif.

    Ufraw s’avére être pour moi le derawtiseur le plus pratique en combinaison avec The Gimp, Geeqie et un script Nautilus.

    En lien le profil du Finepix S100fs (récupérer sur le cd Fuji) et la courbe de l’appareil à associer à Ufraw.

    Voilà également un petit script nautilus bien pratique :

    #!/bin/sh
    for file in $@
    do
    ufraw-batch $file –silent –out-type=jpeg –compression=95 –wb=camera
    done



    Il faut créer un fichier (Ufraw.sh) par exemple copier ça à l’intérieur puis le rendre executable (chmod u+x /adresse/script) et le placer dans .gnome2/nautilus-script. Ensuite, il suffit de sélectionner les images d’un dossier et avec clic-droit/script/ufraw.sh, on développe automatiquement les images.

  • Photographie et Linux – Part 2 [Développement]

    Voilà comment je passe d’une photo en raw pas encore traitée à un fichier développé. J’utilise d’abord Geeqie puis Ufraw et enfin The Gimp. Il s’agit uniquement du workflow pour les images intéressantes ! Dans ce cas, je vais juste faire un truc rapido pour l’exemple.

    1 – Geeqie

    Considérons que les photos viennent d’être chargées et triées dans Geeqie :

    Après avoir choisie une photo qui me parrait interessante, je l’ouvre avec Ufraw.

    Remarque : Geeqie me permet également de développer en lot les photos sélectionnées. Il empile ensuite dans son interface le fichier JPG+Raw+Ufraw (fichier de config des reglages). Voilà la photo développée avec les réglages de base d’Ufraw :

    2 – Ufraw

    Une fois la photo ouverte dans Ufraw (qui fera l’objet d’un post plus détaillé), je vérifie et ajuste éventuellement les réglages puis la photo est transférée à The Gimp (dernier bouton en bas à droite dans Ufraw).

    3 – The Gimp

    L’image s’ouvre sous The Gimp et on peut alors la modifier comme on le souhaite. Ici j’ai simplement appliquer le filtre National Geographic (pour le fun).

    Et enfin, voilà le résultat :

    C’est simple, rapide (même avec ma config) et surtout éfficace, je garde un contrôle important sur l’exposition de ma photo, la balance des blancs, etc et The Gimp me permet d’aller encore plus loin. Y’a plus qu’à attendre qu’il soit capable de gérer les images en 16 bits et ce sera parfait !

  • Gimp 2.6

    Avant de continuer, voilà ma config de Gimp. Y’a juste à dezipper et à placer au bon endroit (/home/user pour linux). l’interface est toujours séparée en trois fenêtres, la fenêtre d’image est maximisée, il y a en plus deux boites d’outils un peu modifiées (ajout des outils de couleur directement en icônes et d’onglets supplémentaires). Surtout, il contient un certain nombre de scripts et de plugins très pratiques (effet de style, greystoration pour le bruit, gestion plus poussées des calques).

  • Calibrer son écran – Argyll et DiscpalGUI

    Afin de travailler sur ses photos sans avoir l’appréhension du résultat après tirage, il est important de calibrer son écran. Sous linux, le meilleur moyen d’y parvenir est d’utiliser le logiciel Argyll CMS et eventuellement l’interface graphique Dispcal.

    1 – Argyll CMS

    Sous Ubuntu, Argyll est dispo dans les depôts mais je ne peux que conseiller de récupérer la dernière version sur le site officiel. Cette dernière version prend par exemple en charge nativement la sonde Datacolor Spyder 3 (qui se trouve être celle que je possède).

    Pour une utilisation en ligne de commande, je vous invite à regarder l’article du site d’Ubuntu (cf introduction) qui est très clair. Utilisant DispcalGUI, je ne me suis pas penché sur la question.

    2 – DispcalGUI

    Ce dernier est également dispo dans les paquets Ubuntu. Sinon vous pouvez récupérer une version plus à jour à cette adresse. Aller y faire un tour, c’est le site de Dispcal et il y a un manuel d’utilisation très complet. A la première ouverture, le logiciel vous demande de lui indiquer le lien vers les exécutables d’Argyll.

    Il ne vous reste plus qu’à lancer Dispcal.

    L’étalonnage de votre écran se réalise en deux temps (calibrate & profile). Lorsque vous avez cliqué sur calibrate & profile, une fenêtre de positionnement pour la sonde apparait ainsi qu’une invite dans le terminal. Je vous conseille dans un premier temps de faire les étapes de calibration dans l’ordre (1,2,3) avant de passer à la création du profile. A chaque étape (toujours dans le terminal) Argyll affiche une valeur cible, vous devez vous en approcher en jouant sur les paramètres de votre carte graphique ou de votre écran (luminosité, contraste, etc). Ensuite, vous pouvez passer à la création du profile.

    J’utilise les paramètres suivant : gamma = 2.2 et température 6500 (pour le reste je me cale sur le profile photo).

    Attention, ça prend quand même pas mal de temps. Une fois terminé, le logiciel vous propose d’installer le profile. Pour plus de détail (et surtout plus de fiabilité, parce que bon la gestion des couleurs je fais ça un peu en freestyle….) : DispcalGUI par Gilbert Volker.

  • Photographie et Linux – Part 1

    Je vais me lancer dans un petit état des lieux de mes connaissances sur le traitement et la gestion de photo sous linux. Je suis actuellement sous Karmic (Ubuntu). Je ferais donc référence au .deb et aux outils apt. Dans le cas ou les outils sont compilés, j’essairais d’indiquer les librairies dont j’ai eu besoin.

    Pour le moment, je pense faire un billet sur argyll et DispcalGui pour la calibration de l’écran, un billet sur les différents derawtiseurs libres que j’ai testé (Ufraw, Digikam, GtkRawGallery, Rawtherapee, Rawstudio, Darktable), et un sur les outils de gestion et les catalogueurs (les scripts, Phatcht, Rapid-Photo-Downloader, Digikam, Fspot, Phraymd, Geequie, Gthumb, Darktable, …). Enfin, pour ce qui est de l’édition des images, je me concentrerais sur Gimp puisqu’il est très complet et que je commence à le maitriser a peu près.

    Pour commencer, je vais présenter le workflow que j’ai finalement choisi sous Linux.

    Mon pc datant un peu (6 ans), il n’est pas très puissant (P4 2.8 Ghz, 1.5 Go Ram et GeForce 5800) et il commence à faire le difficile avec des résolutions de 11 Mg pixels. J’ai donc pour obligation de trouver un workflow qui tienne compte de cela. Pour le moment, aucun des logiciels permettant de gérer toutes les étapes ne m’a paru suffisamment robuste et rapide pour correspondre à mes attentes. Je me suis donc rabattu sur la solution classique d’utiliser pleins de petits outils spécialisés.

    1 – Charger les photos :

    Rapid Photo Downloader. Il se lance automatiquement lorsque je connecte une carte SD. Il me permet de charger rapidement les photos dans un dossier AAAA-JJ-MM qui se crée dans mon repertoire Photo/A traiter. Il renomme les photos de la manière suivante : AAAA-JJ-MM-Seq et il les supprimes de la carte SD. Il possède de très nombreuses options pour personnaliser le dossier de chargement, le renommage, des sauvegarde supplémentaires, etc.

    2 – Tri/conversion/archivage :

    Je prend mes photos en raw afin d’avoir plus de libertés de post traitement. Le désavantage c’est que ça prend de la place et que je n’ai quand même pas envie de derawtiser image par image. J’utilise donc Ufraw associé à Geeqie et un script nautilus pour la conversion.

    1. Tri : ouverture avec Geeqie du dossier à traiter. Le logiciel est très rapide, il permet de tagger les photos, de les déplacer, de créer des collections, de séparer l’affichage pour comparer des photos. Il permet aussi d’envoyer dans des éditeurs externes et de développer en lot avec Ufraw (il empile ensuite la version Raw et la version Jpg). Je ferais un billet sur l’utilisation de Geeqie, très pratique mais pas très conventionnel… Donc, j’ouvre le dossier, je regarde mes photos, je supprime celles que je ne garde pas et je traite les autres.
    2. Conversion : toutes les photos correctes sont converties en lot depuis Geeqie dans Ufraw. Je vérifie le résultat et je supprime le raw. Les photos particulièrements bien réussies sont traitées une par une. Ouverture dans Ufraw pour les réglages du Raw puis envoi direct depuis Ufraw dans The Gimp pour traitement final. Je conserve le Raw+Jpg pour ces fichiers là.
    3. Archivage : une foi les photos traitées, je les classes dans des dossiers thématique : Géographique (France/Auvergne/Clermont par ex), Portrait, Divers (pour les essais). Je fais une copie de sauvegarde du dossier de manière régulière sur un DD externe.

    Voilà en gros mon Workflow sous linux. Je rajouterais petit à petit les billets correspondant au différentes étapes ainsi que sur la configuration de mes logiciels.