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  • Bouclier de Brennus

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    J’ai récupéré la pellicule faite le jour du retour du bouclier de Brennus à Clermont-Ferrand. Forcement en Noir et Blanc, on voit pas que la place est Jaune et Bleue mais bon, on l’imagine. Les dernières photos ont été prises au jardin botanique, il est pas super bien entretenu mais c’est sympa, y’a une quantité impressionnante d’espèces.

  • Grand changement

    Enfin grand, tout est relatif. Fatigué de toujours rencontrer des restrictions dans l’utilisation de mon blog chez Free, j’ai décidé de changer et de prendre un hébergeur payant. j’ai Choisi OVH avec le compte perso de base (25 Go, sql, etc.) qui est bien suffisant. J’ai donc pu installer tranquillement PixelPost pour ajouter un photoblog, je vais réfléchir à un système de galeries photo plus esthétique que NextGen. J’ai aussi rapatrié toutes les photos sur le Blog. Maintenant, je ne dépend que de moi même (et un peu beaucoup aussi des serveurs d’OVH mais bon pas le choix).

    Pour résumer :

    • Blog avec WordPress;
    • Photoblog avec PixelPost;
    • Galeries photos avec Zenphoto (utilisant un répertoire commun avec NextGenGallery pour les photos sur WordPress);
  • Snif – c’est fermé

    j’ai porté un film a développé hier (pour pas qu’il traine trop puisqu’il a déjà deux semaines et que j’ai pas eu le temps de le développer aux ateliers mercredi). On m’a dit « revenez vendredi à sept heure », je me suis demandé s’ils ouvraient tôt ou s’ils fermaient tard. Ce matin à neuf heure, la boutique était fermé (ouverture à 9h30), je me suis donc dit que je repasserais ce soir « à partir de sept heure »….arrivé à 19 h, la boutique ferme à 19h30 !!!

    Moi qui pensais passer ma soirée à scanner mes négatifs en attendant Steph, c’est raté.

    Par conséquent, j’ai bidouillé un peu le blog. D’abord, ajout du bon lien pour les albums photos (en haut à droite), ensuite, modif de la page d’accueil générale et des cadres du menu du blog (plus d’images sur fond blanc – ou presque plus). Enfin, bidouillage et mise en place d’un script en javascript qui créé de manière automatique des galeries photos depuis Picasa, je pourrais faire quelque chose de plus joli mais j’ai envie d’un truc le moins prise de tête possible, là y’a pas de flash ou d’effets qui claquent mais au moins ça marche et c’est pratique !

  • How to – 6×6 avec l'Epson V300

    Voilà une astuce pour scanner les négatifs en 6×6 avec un scanner à plat ayant un adaptateur destiné au 24×36. L’astuce fonctionne très bien sous Linux et le principe doit pouvoir être adapté à Windows.

    L’idée c’est de faire un adaptateur pour que le dos à transparent fonctionne correctement, de scanner en deux fois les négas puis de les assembler.

    Pour l’adaptateur, j’ai tout bêtement scanner celui du scanner en position diapo :

    Ensuite je l’ai imprimé grandeur réelle et  j’ai découpé la fenêtre diapo et le petit cadre supérieur. En le calant dans le scanner directement sur la vitre (côté noir en bas), ça permet au scanner de se repérer et de pas patiner dans le vide.

    On place ensuite le film en alignant le bord de l’image avec le bord du petit cadre du haut. En utilisant Xsane, on scanne la première partie de l’image (on retient les paramètres d’optimisation pour pouvoir reporter les mêmes sur la deuxième partie). Une fois scanné (comment un néga 24×36), on fait l’autre côté en décalant le néga et on passe à l’assemblage. On a donc deux images qui se superposent au centre.

    J’utilise Hugin avec Autopano activé pour faire l’assemblage, on charge les deux images (j’utilise les paramètres suivant : objectif rectilinéaire, focale à 70 mm), on le laisse chercher les correspondances, on centre, on optimise et on recadre. Hop y’a plus qu’à enregistrer en jpg le panorama créé et éventuellement à traiter l’image comme d’habitude (contraste, netteté, etc).

    C’est rapide, ça marche pas mal et c’est beaucoup plus économique que d’acheter un scanner à 500 euros !

    Voilà le résultat sur quelque photos (netteté renforcé et contraste automatique):

    C’est pas la panacée universelle mais c’est pas mal surtout pour les films couleur qu’on peut pas tirer aux ateliers.

  • Premier test du Semflex

    Bon, j’ai été chercher mes premières photos faites avec le Semflex. Verdict, l’exposition étant au pifométre, c’est plutôt pas trop mal. Je pense que pour la prochaine pellicule, j’emporterai mon srt comme cellule. Voilà un test de scan du néga (scanné en trois partie assemblée avec Hugin :

    Et voilà les scans des tirages. J’ai légèrement renforcé la netteté avec Picasa car ils étaient généralement un peu mou. Il me semble que ça vient surtout de ma map parce que la photo de la cathédrale avait un piqué pas mal. Je met les 12 photos pour donner une idée même si elles sont loin d’être toutes réussies (y’en a que deux ou trois qui me plaisent dans le lot…).

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  • Semflex Sem Standard objectif Som Berthiot 4,5

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    Mon Semflex est arrivé hier matin ! En plus j’avais avec un vieux pied photo et surtout, un déclencheur souple qui s’adapte aussi sur mon srt. Il s’agit d’un Semflex standard tout ce qu’il y a de plus classique (objectif Som Berthiot ouvrant à 4,5).

    Il est en bon état (sauf le cuir du viseur qui se décolle un peu mais ça devrait pas être trop de boulot de remettre ça en place), toutes les vitesses déclenchent et semble correctes.

    DSCF0048

    J’ai donc commencé par un nettoyage en règle : l’extérieur (cuirs), démontage des objectifs et du dépoli pour enlever la poussière accumulée dans le viseur (ça c’était la partie super galère surtout avec les ressorts du viseur !!!). La housse en cuir de l’appareil est nickel.

    L’utilisation est très simple, on choisie la vitesse sur l’objectif ainsi que l’ouverture. Pour la mise au point, on ouvre le viseur, on regarde sur le dépoli

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    et on régle avec la molette sur le côté de l’appareil. Par contre, il n’y a pas ou plus de loupe de mise au point sur mon viseur – snif – ça complique les choses en plein jour.

    Je n’ai pas resisté à la tentation de le tester. J’ai donc était cherché une pellicule 120 (Ilford Delta 100) et ce midi à la pause déjeuné, une petite salade de tomate et hop en route pour quelques prises de vues (d’un autre côté, 12 pauses ça va vite). j’ai porté le rouleau au labo et ils m’ont dit de repasser le soir même.

    L’utilisation en conditions réelles et moins simple qu’il n’y parait. Il faut déjà charger la pellicule, c’est un rouleau de papier, on le met au bas de l’appareil à la place de l’ancien rouleau qui va servir à recevoir le nouveau film. On passe le bout du papier dans le nouveau rouleau et on enroule jusqu’à voir apparaitre une flèche. On ferme l’appareil et on avance le film en regardant par la petite fenêtre rouge jusqu’au numéro 1. Ensuite, il faut bien penser à chaque prise de vue à avancer le film, il n’y a pas d’automatisme !

    Il n’y a pas de cellule donc, il faut réfléchir aux réglages à utiliser. J’ai pris une pellicule de 100 Asa parce que mes vitesses allant jusqu’à 1/250 ème, je craignais la sur-exposition. J’ai utilisé la règle du f/16, on verra bien ce que ça donnera.

    Autre subtilité, la vue dans le viseur étant renvoyé par un miroir, elle est inversé. Pour le cadrage, c’est coton de partir dans le bon sens, il va me falloir un peu de pratique.

    Une foi la pellicule en place et le cadrage réalisé, on tente malgré l’éblouissement de faire la mise au point et de déclencher. Là, on se rend compte qu’on a oublier de remonter la petite manette qui charge le déclenchement. On arme, on re-cadre tant bien que mal, on déclenche, on espère !

    Au final, c’est tellement différent de ce que l’on fait d’habitude, zéro automatisme, pas de cellule, il faut penser à tout et prendre bien le temps composer, analyser la lumière, les réglages, etc. Je pense que c’est un super moyen de progresser. Par contre forcément, ma première pellicule risque fort d’être loupée. J’ai pas vraiment pris mon temps, j’ai plus qu’à espérer qu’il y aura quelques photos valables pour me rendre compte des capacités de l’appareil.

    Voilà quelques images de la bête :

  • La règle du f/16

    Le Semflex qui va arrivé n’étant pas équipé d’une cellule et n’ayant pas l’intention d’en acheter une (ça me couterais le prix de l’appareil !).

    Je me suis un peu penché sur la question de l’exposition « manuelle ». Le plus simple serait de me trimballer avec mon srt ou le X-700 et de faire une mesure d’exposition avec. Simple mais un peu encombrant. L’idéal serait que je puisse déterminer l’exposition au jugé.

    Il semblerait que pour le Noir et Blanc, on puisse utiliser la règle du f/16 c’est-à-dire, en plein soleil, on ferme à f/16 et on prend comme temps l’inverse de la sensibilité du film (1/100 s pour 100 ASA par exemple) si le temps est un peu couvert, on ouvre d’un diaph et ainsi de suite.

    Apparemment cette règle fonctionne très bien en N&B comme les films encaissent mieux les écarts d’exposition mais ça passe moins bien avec les diapos.

    La derniére solution est d’utiliser des tables de correspondance, soit le Ultimate exposure computer (dont le but à terme est de retenir par coeur l’ensemble de l’énorme table pour pouvoir exposer sans mesure et de tête) soit l’Exposure-Mat qui se présente comme ça :

    En gros, on fabrique ce bidule après l’avoir imprimé. Ensuite, il suffit d’aligné la sensibilité de la pellicule chargé aux conditions météo indiquées au-dessus des EV et on peut lire en dessous les couples diaph/vitesse. Je m’en suis fabriqué un et je vais commencer avec ça.

    On verra quelle méthode je garderais en fonction des résultats !

  • Mes appareils argentique

    Depuis que je me suis remis à l’argentique, mon parc de matériel à sérieusement grandi. Je suis parti du Minolta Srt303b de mon père :

    accompagné d’un 50mm f1,7 Rokkor en monture MD, d’un doubleur de focal Minolta

    et d’un 200mm f3,5 Sicor

    J’ai ensuite fait l’acquisition d’un grand angle, un 28mm f2,8 Rokkor en monture MD

    et d’un zoom 35-70 macro f3,5 (à ouverture fixe) Rokkor en monture MD

    Le Srt 303b est un super appareil, il est déjà tombé plusieurs fois et il a quelques bosse mais il fonctionne sans problème. Il est entièrement mécanique donc pas besoin de pile pour le faire fonctionner (sauf bien sur si on utilise la cellule).

    Afin d’avoir un peu plus de sécurité et de pouvoir éventuellement charger deux appareils (un couleur et un N&B), j’avais décidé de racheter un appareil argentique supplémentaire. Je voulais que ce soit un Minolta pour qu’il soit compatible avec mon parc d’optique et si possible qu’il possède un minimum d’automatisme. Mon choix s’est porté sur le X-700 (mode A, P, compensation de l’exposition et mémorisation de la valeur d’exposition) qui avait l’air pas mal du tout.

    En plus, j’était à la recherche d’un objectif entre 80 et 100 mm car je trouve le 70 un peu cour et je préfère éviter le doubleur de focal. Coût de chance, je trouve une annonce, pour moins de 100 euros, un X-700 avec des pellicules, trois objectifs et une sacoche Lowpro et des piles. A la réception, je ne suis absolument pas déçu, l’appareil est en parfait état, presque neuf et les objectifs sont tous de trés bonne qualité !!! J’ai donc en plus maintenant :

    un X-700 monté avec un 50 mm f1,7 Rokkor MD (avec pare-soleil et filtre UV !)

    un 35mm f2,8 Rokkor MD

    et surtout un 100 mm f2,5 Rokkor MC

    A final, tout mes objectifs sont en monture MD et  peuvent donc être utilisés en mode tout auto (P) sur le X-700 sauf le 100 mm qui ne peut-être utilisé qu’en mode A (mais c’est déjà suffisant). Le X-700 est génial, simple d’utilisation, rapide, léger, seul défaut : en mode M, la vitesse affichée dans le viseur correspond à la valeur proposée par la cellule et pas forcement celle sélectionnée, il faut donc vérifier avant de déclencher. D’un autre coté, si je doit l’utiliser en manuel ça sert à rien, autant prendre le srt qui marche très bien pour ça.

    Voilà, je me retrouve donc pour moins de 200 euros avec un parc complet d’optique de 28 à 200 (voir 400 avec le doubleur de focal) mm et deux appareils dont un avec exposition automatique. Je suis super content, j’ai tout ce que je voulais en 24×36.

    Maintenant, je vais m’aventurer dans le moyen format avec un TLR (Twin Lens Reflex) 6×6. Après 3 semaines de recherche sur la brocante des Salins et d’enchères ratées sur eBay, j’ai finalement remporté un Semflex standard pour 40 euros avec la livraison (il fonctionne, semble en parfait état, il est livré avec l’étui en cuir d’origine et un pied) qui devrait arriver aujourd’hui ou demain. Il me tarde de l’essayer !

  • Vieux Lyon

    Les photos de jeudi soir, un petit tour dans le vieux Lyon, la lumière était particulièrement adaptée ! En plus, youhou, j’ai reçu mon Minolta X700 avec ses trois objectifs, il est en parfait état, on dirait qu’il est neuf, pareil pour les objectifs. Si les pellicules n’étaient pas périmées depuis trois ou quatre ans on pourrait croire qu’il a jamais servi ! Avec un peu de chance je remporterais l’enchère sur le Lubitel 126B et il ne me restera plus qu’à tester tout ça [héhé] <= smiley textuel.

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  • Scanner des négatifs sous linux

    Allez, on s’attaque au scanner sous Linux ! Évidemment, mon scanner à négatif Epson V300 fonctionne parfaitement sous Windows avec un joli petit programme qui scanne mes négatifs, découpe les vues, me permet d’optimiser les réglages pour chaque photos puis, de lancer le scan en batch. Sous Linux, les choses se compliquent un peu mais heureusement pas tant que ça !

    1 – installer le V300 :

    Le V300 n’est pas pour le moment reconnu directement par sane et Ubuntu. Il faut donc réaliser un certain nombre de manipulations pour le voir apparaitre. On commence par aller chercher les pilotes et l’utilitaire de scan sur le site de avasys (il suffit de télécharger les .deb correspondant à Ubuntu puis, de les installer). Pour que le scanner soit reconnu par xsane, il faut l’ajouter à la liste :

    gksu gedit /etc/sane.d/dll.conf

    et on rajoute « epkowa » à la fin du fichier. On vérifie que le scanner fonctionne :

    gksu xsane

    si c’est bon, on rend le scanner accessible à tous. On recherche les références du scanner :

    sane-find-scanner

    found USB scanner (vendor=0x04b8 [EPSON], product=0x0131 [EPSON Scanner]) at libusb:001:007

    on note vendor=0x04b8 et product=0x0131 dans un coin. On va modifier le fichier 45-libsane.rules (on le crée s’il n’existe pas) en plaçant les bonnes valeurs :

    gksu gedit /etc/udev/rules.d/45-libsane.rules

    # Epson Perfection V300
    ATTRS{idVendor}=="04b8", ATTRS{idProduct}=="0131", MODE="0664", GROUP="scanner", ENV{libsane_matched}="yes"

    on crée un groupe scanner et on s’ajoute dedans :
    bash-3.1# sudo groupadd scanner
    bash-3.1# sudo usermod -g scanner nom_utilisateur1

    ok, maintenant tout fonctionne (vous pouvez trouver plus de détails sur l’install sur le site d’Ubuntu).

    2 – Scanner les négatifs

    Le plus dur est passé. Pour scanner, plusieurs possibilités :

    1. Vuescan (payant et ne fonctionne pas chez moi donc on laisse tomber)
    2. Iscan (l’utilitaire de Avasys)
    3. Xsane

    Iscan permet de scanner les négatifs de manière très intuitive, il possède tout les outils pour optimiser l’image et il exploite pleinement le scanner. Seul souci, il ne gère pas le scan en batch…

    On peut donc optimiser l’image, augmenter la netteté :

    Le résultat scanné en N&B et en couleur (2400 ppi) :

    La seconde possibilité c’est d’utiliser Xsane. Il permet de scanner en batch les 6 vues du film. Par contre, il ne permet pas d’augmenter la netteté et les photos méritent un petit « sharpening » après le scan.

    Pour scanner les négatifs, le plus simple c’est de sélectionner « dos transparent », « couleur », une résolution de 2400 ppi, de demander l’aperçu. On sélectionne le média « full color » et on active le bouton « négatif » (le deuxième en bas à gauche). Pour scanner en batch, on sélectionne la première vue et on clique en haut à gauche sur la croix verte, la sélection s’ajoute au batch scan :

    on répète l’opération pour les vues suivante puis on enregistre la liste pour pouvoir la réutiliser les fois suivantes. Il faut également penser à afficher les options avancées et à sélectionner « négatif » :

    Enfin, on peut corriger les couleurs manuellement ou tout simplement cliquer sur l’auto-correction. Il ne reste plus qu’à demander le scan de la sélection ou de toute la liste batch si l’exposition est correcte.

    Voilà le résultat après scan et aprés un simple sharpening avec Picasa :

    Initialement sceptique par rapport à Xsane, je dois dire que le résultat de l’auto-correction me plait plutôt pas mal, les couleurs sont plus naturelles. Astuce, pour améliorer le workflow, il suffit de sélectionner « save » en face de la petite cible en haut à droite des réglages de Xsane, puis d’indiquer le chemin du dossier et le nom du fichier avec l’extension jpg et hop, le tour est joué ! Franchement, sur ce coup la Linux s’en sort pas trop mal.

  • Changement de système et nouvelles pellicules

    2010-4-025

    J’ai finalement décidé de passer par Picasa pour gérer mes photos donc je n’utilise plus NextGenGallery à priori (tous ça est encore en test). Voilà les photos de ce week-end et du week-end dernier. Il s’agit des négatifs scannées. Je ferais prochainement un tuto sur comment scanner des négatifs (en tout les cas noir et blanc) en automatique avec xsane (sous Linux).

    J’en profite pour décrire ma nouvelle technique de classement, je développe (ou fait développer dans ce cas)  les négatifs puis, je les classe dans une planche de pochettes cristal. Chaque planche est numéroté année-n°pellicule + Type de pellicule. Ensuite, je scan les négatifs à 2400 ppi. Je place les scan dans un dossier année-n°pellicule (les photos sont nommées pareil + n°chronologique). Ensuite, avec Picasa, j’edite une planche contacte que j’imprime et que je place juste avant le feuillet de négatif. Comme ça je sais ce que j’ai sur les pellicules, dans quel ordre et je peux choisir celles que je tire !

    On commence par la pellicule Tmax (Boude, Chalus, le Puy, Moudeyres, etc) :