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  • Notre maison

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    Depuis mercredi soir 18 h 30, nous sommes les heureux propriétaires de notre maison à Nohanent ! Ça fait quand même bizarre mais c’est super motivant de pouvoir faire ce qu’on veux dedans.

    Puisque j’ai été éjecté par Facebook (les administrateurs de Facebook considérent que je ne m’appelle pas Le Guyadec Clément et ils ont donc désactivé mon profil…). Je vais mettre les photos et le suivi du « chantier » sur mon blog.

    Il s’agit donc d’une maison de bourg en centre ville de Nohanent à 5 km de la place de Jaude. On a une petite terrasse pour les barbecue, une place de parking privative devant la maison et une grande cave voutée (la maison fait 70 m² sans la cave).

    On commence par la façade en pierre de Volvic (la maison date de 1842 et pourtant elle est classée D en économie d’énergie) :

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    (les dernières photos et toutes les photos de l’intérieur ont été prises hier matin à 7 h30 en attendant le passage de gdf donc pas super lumineux.)

    On poursuit par la cave :

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    La terrasse en mode vide et ce qu’on aimerait en faire (photo de l’ancien propriétaire) :

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    Depuis la chambre :

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    On entre dans la maison, la pièce du bas correspond à la cuisine/salon, il y a également des toilettes avec branchement pour la machine à laver. Au mur c’est du crépi donc on a commencé à le décoller laborieusement, on va ré-enduire et repeindre en blanc. On va également re-couvrir le sol avec du parquet pour éclaircir et faire poser une cuisine équipé. Pour le moment la pièce ressemble à ça :

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    Ensuite on monte au premier étage (si on ne compte pas la cave dans les étages, sinon c’est le deuxième) par l’escalier dans le salon. On y trouve : des toilettes, un grand placard, la salle de bain et ce qui sera notre chambre.

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    La vue depuis la chambre :

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    On monte ensuite au dernier étage qui tiendra lieu de bureau/bibliothèque/salon sans télé :

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    Et voilà, fin de la visite. En gros, en dehors de la pièce du bas ou on a décidé de faire plein de choses, il y a surtout des travaux de finition et de déco. L’électricité est au norme, tous les diagnostiques sont OK. La salle de bain ne nous plait pas trop en l’état mais on va attendre un peu avant de s’y attaquer.

    Si j’ai le courage je prendrais des photos et je mettrais l’avancement des travaux sur le blog.

    Pour finir, les alentours (quand même!). Nohanent est un charmant petit village et il se trouve dans la vallée du Bédat. On est entouré par les Côtes de Clermont. Il y a un bassin d’orage qui régule les eaux de tous les ruisseaux qui passent autour. On peut y pécher et y faire de la barque. Il est situé à 15 mn a pied de chez nous en passant par le sentier de rando dans la forêt (donc c’est super sympa) :

     

     

  • How to fix any computer

    How to fix any computer

    Méthode universelle permettant de réparer n’importe quel ordinateur @(^_^)@

  • The Natty Narwhal

    The Natty Narwhal

    La dernière version d’Ubuntu est sortie en avril. Je n’avais pas pris le temps de faire une mise à jour jusque là. Heureusement, c’est chose faite. Ubuntu 11.04 dont le nom de code est The Natty Narwhal (le Narval Chic) apporte notamment le remplacement d’Open Office par LibreOffice (qui est juste un fork de Open Office suite au rachat de Sun par Oracle), Banshee à la place de Rythmbox et surtout l’arrivé d’Unity comme interface par défaut à la place de Gnome.

    J’avoue que je craignais un peu le résultat et surtout, de devoir me faire à une nouvelle interface. Il s’avère que je trouve Unity vraiment bien pensé et très pratique. Il faut juste s’adapter à quelques changements ergonomiques mais on s’y fait plutôt bien.

    Ce qu’il faut savoir c’est qu’il y a maintenant un dock sur le côté et que le panneau d’administration se trouve sur le bouton de droite. Lorsqu’on ouvre une fenêtre, les menus se trouvent dans la barre des tâches du haut (en passant la souris dessus). Alt+F1 met Unity en avant, Alt+F2 ouvre l’exécuteur de programme et la touche « spécial » ouvre le menu d’Unity.

    Le tout est fluide (sur mon portable en tout cas). L’installeur de programme a été amélioré ainsi que l’intégration d’Ubuntu One.

    Pour en savoir plus et personnaliser Unity :

  • Polka Magazine

    Polka Magazine

    Je pensais en avoir parlé mais je me rend compte que ce n’est pas le cas. Je répare donc mon erreur et je parle du magazine Polka. En fait depuis quelque temps déjà j’achète régulièrement « Polka ». Il s’agit d’un magazine trimestriel de photo reportage qui traite de sujets totalement passionnants et magnifiquement illustrés par de grandes photos.

    J’en parle ce mois ci parce que le n° actuellement en kiosque est vraiment génial. J’ai été beaucoup touché par le reportage sur « Holy Daugther » de Prune Nourry mais aussi par les magnifiques natures mortes de Paulette Tavormina :

    On trouve aussi un reportage étonnant sur les pratiques du Bouddhisme en Chine :

    Ou encore un reportage sur les cavalier de fletcher street :

    Sinon, au sommaire on trouve :

    • Marc Riboud : flagrants délits de tendresse;
    • Liberté je crie ton nom : Tunisie, Egypte… le printemps des peuples;
    • London so chic : s’habiller à Savile Row;
    • Pina Bausch : regards croisés sur la chorégraphe par Donata et Wim Wenders;

    et pleins d’autres choses !

    En plus, on peut partager les photos du magazine grâce à des liens hy.pr et, sur le site de Polka, on trouve pleins de compléments multimédias (webreportages, galeries photos, reportages vidéos qui complétent les articles, etc.).

    Pour plus d’infos :

    Et si ce n° vous intéresse allez vite en kiosque puisque le prochain est à paraitre bientôt…

  • J’ai fabriqué mon propre couteau !

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    L’Auvergne c’est vraiment cool @(^_^)@. Grâce à un mailing de l’info-tourisme du Puy-Dôme j’ai appris qu’un organisme d’insertion professionnelle avait lancé à Thiers un atelier de coutellerie. En fait le principe c’est que des personnes à la recherche d’emploi sont formées pour accueillir du publique et aider les gens à fabriquer leur propre couteau.

    Il va sans dire que nous avons immédiatement réservé une place aux ateliers du week-end pour faire notre couteau. En gros, le coût est de 23 euros pour 1 h 30, ils fournissent les pièces à assembler, les explications et les machines. Au vue de la description (ici avec les infos pour s’inscrire), je m’attendais à une visite de la coutellerie, des petites explications et  deux coups de marteaux à la fin pour riveter le couteau. En fait, pas de visite, 1 h 30 de fabrication et c’est pas de trop.

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    A l’arrivé on nous fait signer une décharge (tiens pourquoi ?) puis on nous remet un tablier et des lunettes de protection. Ensuite, chacun est accompagné par un formateur à son poste de travail. On nous donne la notice ci-dessus et les pièces brutes du couteau « le Thiers ».

    On commence par placer la côte sur la platine puis, à l’aide d’une perceuse, on fait les trous pour les rivets. On coupe ensuite du fil de fer de 2,2 mm qu’on ponce et qu’on passe dans le trou pour assembler le ressort, les côtes et les platines. On coupe pour ne laisser dépasser que le minimum puis on tape de chaque côté sur une enclume pour riveter. On passe ensuite l’intérieur à la ponceuse à bande pour que le rivet ne dépasse pas du tout (un peu flippant, on ne peut pas mettre de gants parce que sinon ils sont emportés par la ponceuse).

    Lorsque c’est fait pour le trou du centre et du haut, on s’attaque à la lame. On règle le poncetage (la partie à la naissance de la lame) à l’aide de la ponceuse pour qu’une fois repliée la lame ne ressorte pas trop du manche. On monte la lame on regarde et on recommence jusqu’à ce que ce soit à la bonne hauteur. Une fois que le réglage est terminé, on met le rivet de 2,4 mm (on tapote…) et on termine par le rivet du bas du manche (doucement parce que le bois d’olivier étant maintenant solidement attaché, il ne faut surtout pas qu’il casse).

    On passe alors au gros du travail, le ponçage du manche et le polissage des parties métalliques et de la lame. C’est le plus difficile parce qu’on tiens le couteau à la main sans gants et qu’on s’approche très très près de la ponceuse ! En plus, le métal chauffe énormément et on à vite fait de se bruler sur les rivets. Heureusement que le personnel d’encadrement est là pour donner un coup de mains.

    On fini enfin par blanchir la lame, l’aiguiser et cirer le manche avant de graver notre nom dessus.

    Au final on obtient ça :

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    Un magnifique couteau modèle « Le Thiers » avec un manche en bois d’olivier et on est super fier de ce qu’on à fait ! (évidemment je ne le quitte plus depuis samedi et je mange avec à tous les repas ….).

    Donc, si vous passez en Auvergne et que vous aimez les couteaux, n’hésitez pas une seconde et foncez à Thiers.

  • Cusset 2011

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    Cette année on était de retour à Cusset, le seul endroit en Auvergne ou on peut croiser des Jawas, Chubaka et Anankin (et Yoda jeune aussi) !

  • Rahmsès II

    Rahmsès II

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    Statue of a young Ramesses II in the Egyptian Museum of Turin

    C’est marrant quand même comme certaines histoires sont assez fantastiques. hier j’ai entendu à la radio une émission sur Ramsès II et plus particulièrement sur ce qui lui est arrivé après sa mort :

    [audio:https://www.rienadire.fr/wordpress/wp-content/uploads/2011/05/11739-04.05.2011-ITEMA_20283618-0.mp3]

    Ce que je trouve fascinant dans cette histoire, en dehors du fait qu’il s’agisse d’un pharaon qui régna durant 67 ans et qui était roux, c’est que la momie a également eu sa propre vie !

    Lorsque la tombe de Ramsès II a été retrouvé son corps n’y était plus. Quelques 200 ans après sa mort le clergé, inquiet des violations des sépultures royales, décida de cacher les momies des plus grands pharaons.

    Cette cachette à finalement été découverte en 1881 par Gaston MASPEREO.

    Débandelleté en 1886, la momie est ensuite conservée en Égypte. On constate dès 1907 une contamination de la dépouille par des micro-organismes. En 1975, inquiet de l’état de la momie, les égyptologues informent le gouvernement égyptien de la nécessité de faire quelque chose. Cependant, le musée du Caire ne dispose pas d’infrastructures suffisantes et le conservateur du musée ainsi que le président égyptien sont retissant à l’idée de laisser la momie quitter l’Égypte. Le problème est finalement réglé grâce à la France qui propose que la momie de Ramsès II soit accueilli comme un chef d’état ! Ramsès II est donc arrivé le 26 janvier 1976 au Bourget, il a même visité la place de la concorde pour voir l’obélisque et la momie a ainsi pu être sauvée.

    L’affaire resurgit en 2006 quand le fils d’un membre de l’équipe scientifique ayant étudié les échantillons de la momie cherche à vendre une mèche de cheveux de Ramsès II sur internet (toute l’explication ici). Cette histoire a créé un incident diplomatique !

    La dernière question qui se pose actuellement est de savoir à partir de quand un corps humain devient un objet et donc, la légitimité de l’exposition des momies dans les musées.

    Voilà voilà, je trouve que c’est fou de voir le « pouvoir » dont dispose encore les momies de nos jours.

    Quelques liens:

  • Le musée Grévin

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    Je viens de me rappeler que j’avais fait quelques photos au musée Grévin pour les 50 ans de mon père. Comme il s’agit plus de photos souvenir que de photos « artistiques », je les livre brut de pomme. C’est la première fois que je visitais le musée Grévin, certaines statues sont criantes de vérité et d’autres nettement moins ! Dans tous les cas, c’est marrant à voir mais l’ambiance lumineuse (très sombre) complique pas mal pour la photo. Je n’avais emmené que mon 50 mm comme il est très lumineux, j’ai tout fait sans flash à pleine ouverture. Ça permet aussi de masquer la foule (il y a beaucoup de gens et c’est très dur de ne pas les faire figurer sur les photos).

  • Maariooo !!

    Maariooo !!

    Les gens sont fous (ou balaises, je sais pas encore). Comme ça fait un bon moment que je n’ai pas posté, voilà un petit billet sorti de nulle part. Quelques vidéos de gens un peu fan de Mario. Je trouve que le court métrage est juste excellent. Le gars qui fait un jeux vidéos en stop motion est juste dingue, les free-runners sont trop balaise et le pianiste est pas mal non plus !


    Le stop-motion :

    Les free-runners :

    et un pianiste :

  • Le culte du cargo

    Le culte du cargo


    Voilà une histoire dont je n’avais jamais entendu parlé mais que je trouve édifiante : « le culte du cargo ».

    Il s’agit d’un culte messianique adopté simultanément et avec ferveur dans la quasi totalité de la Mélanésie à partir du début de la colonisation et jusqu’aux années 70. Les indigènes partant du constat que les colons blancs ne travaillaient pas et qu’il leur suffisait de parler dans des boites (des radios…) pour faire venir tout ce qu’ils voulaient aussi bien en nourriture qu’en matériel divers via des « cargos » (appellation générique pour les bateaux ou les avions). Ils décidèrent de court-circuiter les colons et d’invoquer eux même des cargos afin de reprendre le contrôle et d’avoir toutes ces choses (qui pour eux étaient forcément fabriquées par des entités divines, les boites de conserves et les groupes électrogènes ne courraient pas les rues avant l’arrivé des colons). Ils construisirent donc des radios en bambou, des pistes atterrissage et des tours de contrôle en bambou pour faire venir les « cargos ».

    Je trouve ce phénomène tout à fait fascinant. Voilà une vidéos qui en parle et quelques sites qui donnent plus d’infos :

     

  • Sénégal – Blurb

    Ça y est, mon livre photo Blurb du Sénégal est fini. Contrairement à celui de l’Inde j’ai choisi de mettre quasiment que des photos (et une par page…).

  • Darktable git 0.8 et style Sénégal

    Darktable git 0.8 et style Sénégal

    Ça fait un moment que je n’ai pas fait un billet sur Darktable (d’autant  plus que la version 0.8 est sortie). Cette version apporte des améliorations sur la rapidité, sur l’interface, plus d’options et de nouveaux outils (ci-dessus, récupération des hautes lumières, tone mapping). On trouve maintenant des options générales :

    Le panneau d’outils de développement s’est encore amélioré avec plus d’outils, des favoris, etc. L’outil soften par exemple (pareil pour l’outil égaliseur qui s’est carrément amélioré avec pleins de nouveaux presets) :

    Ou encore l’outil vignetage qui s’est grandement amélioré (c’est super bien pensé leur truc !):

    Il y a même un outil hdr (que j’ai pas encore testé) uniquement dispo pour les raw :

    J’en profite pour faire une sorte de tuto sur le style « Sénégal » (en gros augmenter le contraste local, la netteté, la clarté, vigneter et faire un virage de couleur dans les tons ocre). On commence avec l’image initiale :

    On récupére les hautes lumières :

    On renforce la netteté et on applique une courbe de contraste moyen :

    On applique le preset « clarté(subtil) » avec l’égaliseur :

    On applique le vignetage et un virage ocre :

    Le tour est joué, voilà le résultat :