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  • DIY – Meuble TV

    DIY – Meuble TV

    Jusqu’à présent notre télé était installée sur une table basse. Au fur et mesure, les équipements se sont entassés progressivement au sol autour de cette dernière. Finalement, l’acquisition d’une barre de son débordant très largement de la table nous a poussé à réfléchir à la question du meuble TV.

    On avait des critères très précis et du coup on s’est dit « pourquoi ne pas tout simplement la fabriquer ! »

    Le week-end dernier on a donc débuté les plans avec Google Sketch-up et on est passé à Leroy-Merlin pour voir ce qu’on pouvait trouver comme matière première.  Voilà le résultat sous Sketch-up (le fichier est dispo si quelqu’un est intéressé) :

    On est donc parti sur des cornières en acier pour les pieds, des tubes d’acier (carré) pour les montants et une barre d’acier plate pour le maintien. Le tout est assemblé avec des écrous. Ce week-end nous sommes allé faire nos courses et on s’est mis au travail.

    Pour les tablettes, on a pris une table de chêne de 40 cm par 2 m. Pour l’assemblage, on pensait déposer les tablettes sur les barres carrées directement et éviter que les pieds ne s’écartent avec la barre plate :

     

    Cependant, une fois le montage réalisé, il s’est avéré que cette dernière était trop souple donc pour éviter toute catastrophe, on a ajouté quatre vis pour lier les pieds avant et les tablettes.

    On a lasuré les tablettes et assemblé le tout. Finalement, on a pour moins de 100 euros (hors matériel de bricolage bien sûr) un meuble de 100x40x40 cm (et quelques courbatures) qui correspond exactement à ce qu’on voulait qui trône fièrement dans notre salon.

    Toutes les photos :

     

     

  • Aquarium

    Aquarium

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    Notre aquarium étant en eau depuis quelques temps maintenant, nous avons fini de le peupler. Il est donc temps d’en parler un peu plus en détail !

    Pour des questions d’espace disponible, il ne nous était pas possible de prendre un litrage trop important. Mais, on voulait quand même des poissons. On a donc fait le choix d’un bac de 60 L planté. Pour des questions esthétiques, on a choisi le bac de Dennerlé qui est cubique (le litrage est un peu plus élevé que 60 L). Pour la population du bac on avait donc des contraintes importantes. Il fallait des poissons compatibles (eau et zone de nage), qui ne se reproduisent pas trop pour éviter la surpopulation et qui puissent vivre correctement dans 60 L. C’est assez difficile de concilier tous ces critères et de mettre de côté le physique avantageux de certains poissons qui nous plaisaient bien.

    Notre objectif était d’avoir un bac qui soit stable dans le temps, que les poissons vivent confortablement et qu’on ait pas à les remplacer tous les mois évidemment. Ayant la chance d’avoir au robinet une eau de bonne qualité (sans nitrate, pas trop dure et de ph neutre), on a finalement opté pour des Barbus cerise et un couple de Colisa Chuna. Les Barbus nécessitent normalement un litrage un peu plus élevé ou en tout les cas une surface en façade plus grande (d’autant qu’ils vivent en groupe) mais au regard des commentaires sur les forums, ça semblait passer. Pour le Colisa, aucun problème, il fallait juste suffisamment de cachettes et espérer que les Barbus ne les embêtent pas trop (mais les cerises sont réputés pour leur calme).

    Après avoir placé un sol nutritif JBL et du sable, on a mis le décor (roches) et les plantes :

    • Une boule d’Aegagropila linnaei sur la plage devant
    • Deux Shinnersia rivularis comme plante de fond
    • Deux Sagittaria subulata comme plante de devant
    • Une Undulatus rouge comme plante intermédiaire
    • Une Riccia fluitans en plante de surface

    Notre éclairage est composé de deux lampes de 11 Watts donc ils nous fallait des plantes pas trop exigeantes. Au niveau de la technique, on à aussi le filtre XL de Dennerlé et un chauffage dont j’ai oublié la marque.

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    La mise en eau date de fin octobre et on a attendu plusieurs semaines que l’aquarium soit cyclé avant d’introduire les premiers occupants. Lorsque le bac s’est stabilisé, on a pu constater que l’un des éléments (je soupçonne fortement la terre) n’était pas neutre. Le pH tamponne à 8 ce qui est trop élevé par rapport à la population visée. En filtrant sur tourbe, nous somme parvenu à le stabiliser entre 7 et 7,5 ce qui est mieux mais pas top. Le désavantage c’est que ça donne une coloration ambrée à l’eau mais bon, ça passe. Pour le moment les poissons on l’air content (par contre lorsque la tourbe ne fait plus effet, on constate des signes de stress).

    Le premier à avoir rejoint le bac c’est Garry Skywalker, notre néritina et sa langue marrante :

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    Il grimpe partout et s’occupe bien des vitres. Une petite vidéo de la bête en action :

    Une semaine plus tard, on a ajouté un groupe de trois barbus. Un mâle et deux femelles. L’idée c’est que les Colisa étant territoriaux et plus fragiles, il valait mieux les mettre en dernier. Au départ, on pensait prendre un groupe de barbus important mais, après avoir mis les trois premier, on s’est rendu compte que le mâle cherchait beaucoup les femelles.  Comme on  ne voulait pas risquer un conflit en ne mettant que deux mâles (ces poissons forment un groupe avec un comportement hiérarchique)  et que mettre trois mâles, et plus de femelles encore, nous faisait dériver vers la surpopulation, on s’est contenter d’ajouter deux femelles de plus la semaine suivante.

    C’est amusant parce que l’effet « groupe » s’est tout de suite fait ressentir. Dès qu’ils ont été cinq, ils semblaient moins stressés, les femelles on commençaient à sortir et à se balader en petit groupe dans l’espace de nage libre. Le mâle est d’un très beau rouge et c’est dommage qu’on ne puisse pas en mettre plus mais bon, les femelles sont bien mignonnes aussi.

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    Une fois tout ce petit monde acclimaté, nous sommes parti en quête de Colisa Chuna. Faute de forme naturelle, on s’est rabattu sur un couple de Colisa Chuna rouge. Le mâle s’est très bien acclimaté mais la première femelle qui était assez jeune est morte au bout de trois jours. Lors de l’introduction elle était assez timides et je ne sais pas comment elle a fait mais on l’a retrouvé un matin coincé à la surface derrière le filtre. Après l’avoir libérée elle s’est cachée dans une plante et n’a quasiment plus bougé. Elle est finalement morte… Après cela, le mâle avait un comportement bizarre, comme s’il se regardait dans la vitre de l’aquarium. On a donc était lui cherché une autre compagne qui se porte bien depuis.

    Le mâle

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    Et la femelle

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    Je suis désolé pour les photos floues mais ils ont tendance à bouger pas mal et lumière est assez basse dans le salon en hiver…

    Concernant le filtre Dennerlé, on a par la suite retrouvé plusieurs fois des barbus femelles coincées derrière (sans perte par contre). Il y a une sorte de goulotte assez grande pour les barbus qui leur permet de se glisser mais ils ne peuvent ensuite plus faire marche arrière. On a donc mis un morceau de mousse pour empêcher les poissons de passer sans bloquer l’eau.

    Pour finir, une petite vidéo du bac et d’autres photos :

     

     

     

  • Zim – un wiki de bureau

    Zim – un wiki de bureau

    La prise de notes

    Je prend pas mal de notes. J’aime bien lorsque je débute un projet mettre les choses au claire et les hiérarchiser. Que ce soit lorsque je compose, lorsque que je me renseigne sur quelque chose ou que je trouve un truc intéressant. Jusqu’à présent j’utilisai divers outils, Tomboy sous Ubuntu pour les notes persos en essayant de les organiser plus ou moins, des dossiers pour organiser les documents, une page de notes anarchiques pour les liens, Thunderbird et Lightning pour les tâches et le planning, etc. Le problème, c’est qu’évidemment rien n’est lié et surtout, rien n’est synchronisé entre mes ordinateurs et mobiles.

    Je me suis mis il y a quelques temps à Evernote dans sa version gratuite. Par rapport à Tomboy, il présente un avantage certain puisqu’il permet de mettre des images. Il y a certains cas ou l’intégration d’images dans les notes est vraiment primordiale (par exemple dans mon cas des fiches sur des poissons pour la population d’un aquarium). Je n’avais pas la volonté de faire des documents .odt ou .doc pour cela car ce n’est vraiment pas pratique. De plus, Evernote dispose d’un client non-officiel sous Linux et il est donc possible de synchroniser entre plusieurs postes mais aussi de consulter ses notes sous android. L’utilisation des blocs notes empilés, des liens entre page et des tags ainsi que des tasklist répondaient à tous mais besoins. Mis à part le fait que qu’il n’est pas libre, Evernote semblait l’outil parfait. A l’usage, je me suis rendu compte que les 60 mo du compte gratuit était vraiment limitant (90% consommé en moins d’un mois) et surtout que si on ne passe pas sur le compte payant, on ne peut pas consulter ses notes hors ligne (en tout cas sur le téléphone).

    Je me suis donc remis à la recherche de l’utilitaire de prise de note parfait. Finalement, je pense avoir trouver un très bon compromis avec Zim. Il est un peu moins souple d’utilisation que Evernote (en ne permettant pas d’intégrer directement des tableaux par exemple) mais il répond vraiment à mes besoins.

    Zim, un wiki de bureau

    Le principal avantage de Zim, c’est qu’il fonctionne comme un wiki de bureau. On peut prendre des notes, ajouter des images, hiérarchiser les documents, intégrer des images et des documents. Surtout, il est open source et les notes sont sauvegardées en fichiers textes ! C’est là tout l’intérêt, chaque fois que l’on crée une note, un fichier .txt est créé. Si on crée des sous-notes, un dossier est créé. Si on ajoute des documents ou des images en les attachants au document, ils sont copiés dans le dossier portant le nom de la note.

    De cette manière, tout est centralisé, tout est synchronisable et surtout, tout est lisible simplement même sans le logiciel.

    Synchroniser entre plusieurs postes

    Pour synchroniser des notes, il suffit d’utiliser un outils comme Ubuntu One ou DropBox. Si ce dernier est disponible sur Linux, Windows et mobile, vous aurez accès à vos notes partout. Sur mobile, même si vous ne disposez pas de Zim, il suffit de consulter les notes avec un éditeur basique de .txt (le client mobile de Dropbox en contient un par exemple). Les notes sont donc consultables, éditables sur mobile. Le cas échéant vous pouvez même récupérer sur le mobile des notes spécifiques pour consultation hors ligne.

    On va tout simplement créer un dossier Notes dans le dossier synchronisé et l’ouvrir comme carnet de note dans Zim pour avoir une consultation multi-postes.

    Utilisation

    Le logiciel est extrêmement simple à utiliser, il suffit d’ajouter des pages et des sous-pages. Comme dans un wiki il est possible de créer des liens inter-page (il faut pour cela que la page porte le même nom que le mot lié dans le texte). On peut faire de la mise en forme basique (gras, souligné, surligné, titre). Il existe également des extensions. Je conseil la gestion des tâches. Elle permet de gérer simplement des todo-list avec des cases à cocher (soit dans zim soit en utilisant le code wiki en cas d’édition du fichier texte).

    Il est intéressant de se pencher sur les raccourcis pour gagner en productivité.

    Lien

    Je ne peux que vous inviter à le tester. Pour plus d’infos et la documentation :
    http://zim-wiki.org/

  • Montpellier

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    Il y a quelques semaines de cela, nous sommes allés passer un week-end de trois jours à Montpellier. On a fait un tour à l’aquarium, visité l’expo de Caravage, mangé en bord de mer et on a même pu se baigner. Par contre, comme c’était pendant les journées du patrimoine, la ville était bien pleine !

    Je n’ai fait des photos qu’avec le compact, par flemme de sortir le reflex mais bon ça donne pas trop mal.

    Sinon, je vais essayer dans quelques temps de faire un nouveau test comparatif de Darktable et Rawtherapee. On m’a fait remarquer que ce dernier avait beaucoup évolué depuis la dernière fois que je l’ai utilisé.

    Et voilà les photos :

  • Lille

    Lille

    Il y a quelques semaines ont est allé chez des amis du côté de Lille. On en a profité pour faire un tour dans le centre ville. Il faisait particulièrement beau et je dois dire que j’ai été très agréablement surpris par cette ville que je ne connaissais pas.

    On est passé dans le parc autour de la citadelle de Vauban, un peu déçus de ne pas pouvoir la visiter puisqu’elle est encore en activité. On a ensuite longé le canal pour rejoindre la vieille ville.

    On a flâné un moment dans les rues pavées.

    On est d’ailleurs tombé sur la plus petite maison du monde !

    On s’est attardé dans la cathédrale de la Treille. Terminé en 1999, cette cathédrale est amusante car elle change de ce dont on a l’habitude.

    Il y a une mosaïque avec une cheminé d’usine, une peinture murale étrange :

    La façade est très moderne :

    Le centre-ville est vraiment vivant et sympa. C’est une ville qui vaut le détoure.

  • Une carte de visite toujours à jour !

    Une carte de visite toujours à jour !

    Comme je l’ai dit dans un article précédent, je me suis amusé à mettre en ligne un CV au format html. Évidemment, je n’ai pas inclus dans ce CV mes coordonnées personnelles !

    Je me suis donc posé la question suivante, comment faire en sorte que cette page de CV en ligne puisse éventuellement me servir de « carte de visite » toujours à jour tout en limitant l’accès au travers d’un simple moteur de recherche à mes coordonnées ? En poussant la réflexion plus loin, pourquoi ne pas utiliser cette page comme une véritable carte de visite en la liant avec une carte physique (un peu sur le principe de ce que proposent certains sites en ligne) ?

    Les données du problème étaient donc les suivantes :

    • disposer d’une page en ligne indexable par les moteurs de recherche
    • faire en sorte que cette page affiche les informations à jour de mon CV
    • faire en sorte qu’un accès direct à la page n’affiche pas mes coordonnées excepté un mail dédié
    • disposer d’un moyen permettant d’afficher dans certain cas mes coordonnées personnelles
    • rendre cette page accessible pour les mobiles et les pc
    • faire le lien entre cette page et une carte de visite physique

    Il s’avèrent au final que ce n’est pas si compliqué à mettre en œuvre. Dans un premier temps, nous allons prendre un nom de domaine pour héberger cette page avec un minimum d’espace de stockage (chez OVH par exemple).

    On va ensuite réaliser la page de CV. Concernant l’accessibilité mobile, il existe plusieurs solutions en fonction de ce que vous implémentez dans votre page. Je m’étais orienté initialement vers les media query pour caractériser la taille de l’écran et modifier le css en conséquence mais ça ne fonctionnait pas avec mon téléphone.

    Je suis donc parti sur du javascript. La première solution consiste à vérifier la résolution et à rediriger en fonction sur une page spécifique. C’est simple, pas prise de tête et ça marche relativement bien. Le problème c’est qu’il faudra maintenir deux pages de CV. Voilà le code à utiliser entre <head></head> :

    <script type="text/javascript">
    if (screen.width <= 900)
    {
    document.location = "http://www.monsite.fr/mapagemobile.php";
    }
    </script>

    L’autre possibilité et d’utiliser le même principe de vérification mais de ne changer que le fichier .css (ce qui évite d’avoir deux pages). Dans ce cas, on ajoute l’id « style » à notre lien vers le fichier css dans l’en-tête de notre page et on remplace le document.location précédent par :

    document.getElementById("style").href="style/cssmobile.css";

    Il existe des tas d’autres solutions (en utilisant le responsive design) mais les deux précédentes sont assez faciles à mettre en œuvre.

    On passe ensuite à la question de la page « sécurisée ». Le but n’est évidemment pas de créer un espace restreint ultra-protégé sur son site mais simplement un affichage conditionnel basique. Si une personne consulte la page depuis un lien disponible en ligne, elle accède à des éléments limités. Je suis parti sur un script basique en php, si on accède en utilisant l’URL contenant la variable « passwd », le CV s’affiche avec les coordonnées et un lien vers une vCard complète et à jour. Sinon, (accès depuis un profil en ligne quelconque, ou un moteur de recherche), on n’affiche que les informations choisies.

    C’est parti :

    On récupère notre page de CV, sous la balise <body> (avant le début du CV), on ajoute :

    <?php
    if (isset($_GET['passwd']) AND $_GET['passwd'] ==  "motdepassesupercomplexe") // Si le mot de passe est bon
    {
    // On affiche le CV avec les coordonnées
    ?>
    on place ici le CV avec les coordonnées
    <?php
    }
    else // Sinon, on affiche la même page mais sans les coordonnées et le lien vers la vCard
    {
    ?>
    on place ici le CV basique
    <?php
    }
    ?>

    et on referme </body>

    De cette manière, seules les personnes connaissant le « motdepassesupercomplexe » ou cliquant sur l’URL passant la variable avec ?passwd=motdepassesupercomplexe pourrons voir les données du CV complet.

    Théoriquement, en limitant la diffusion de cette URL ou de ce mot de passe et en utilisant un mot de passe complexe, ces données seront relativement sécurisées.

    On dispose donc maintenant d’une page accessible aux mobiles et aux ordinateurs et qui n’affiche nos coordonnées qu’aux personnes autorisées.

    On va ajouter une vCard qui est un format standard de fichier exploitable par l’ordinateur pour enregistrer un contact et ses informations. On crée un fichier texte basique. on lui donne l’extension .vcf et un nom de fichier complexe type 0zerkllk5Mld.vcf (verra après pourquoi). On ajoute nos coordonnées dans ce fichier de la manière suivante :

    BEGIN:VCARD
    VERSION:3.0
    N:Nom;Prenom;;Mr;
    FN:Prenom Nom
    TITLE:Titre ou poste
    TEL;TYPE=cell:00 00 00 00 00
    TEL;TYPE=fax:00 00 00 00 00
    ADR;TYPE=dom,home,postal:;;rue;ville;;CP;Pays
    EMAIL;TYPE=internet,pref:mail@mail.fr
    URL:http://www.lesite.fr
    END:VCARD

    Il existe des générateur de vCard en ligne et la documentation sur les champs est facile à trouver.

    Revenons à ce nom complexe, cette vCard peut être diffusée par mail ou accessible depuis notre CV. Elle est facile à mettre à jour mais encore faut-il la protéger si on veut éviter que tout le monde puisse la récupérer.

    Encore une fois plusieurs possibilités : limiter l’accès au dossier avec un .htacess et .htpasswd et fournir les codes au contact ou limiter les risques d’accès non désirés.

    Pour le login/mot de passe, on trouve de nombreux tutoriaux sur internet (comme http://www.mmt-fr.org/article163.html).

    Il suffit ensuite de transmettre le login par mail ou de l’afficher avec le lien sur le CV complet.

    On peut aussi tout simplement donner un nom de fichier complexe (pour éviter que quelqu’un puisse le récupérer juste en saisissant l’URL) et le placer dans un dossier spécifique. On ajoute ensuite dans ce dossier un .htacess contenant « Options -Indexes » pour bloquer l’exploration par le navigateur et on affiche un lien uniquement dans le CV complet.

    Cette solution est normalement suffisante si on ne met pas de lien en ligne exploitable par les moteurs de recherches pointant directement sur la vCard ou contenant le mot de passe du contenu complet.

    Il reste enfin la possibilité d’utiliser du php avec une variable $_post contenu dans l’url du CV complet pour limiter l’accès au dossier avec un mot de passe et éviter à la personne d’avoir à le saisir.

    On en arrive maintenant à la question des cartes de visites physiques. On va bien évidemment utiliser un QR code pour permettre une lecture et un accès direct au informations.

    Je conseille ce site qui est très bien pour cela : http://keremerkan.net/qr-code-and-2d-code-generator/

    Vous pouvez, soit mettre directement l’url du CV avec le mot de passe soit, constituer carrément une vCard contenant cette URL et vos coordonnées directement exploitable par un mobile au scan du QR code.

    Et voilà ! Il n’y a plus qu’à imprimer des cartes de visite personnalisées contenant ce QR code et le tour est joué.

    On s’attaque à la création de la carte. On commence par installer le plugin permettant de gérer les couleurs en CMJN sous Gimp (puisque notre fichier est destiné à l’impression) : http://cue.yellowmagic.info/softwares/separate-plus/index.html

    Il suffit ensuite de créer un fichier en 300 dpi en respectant les marges et les tailles préconisées par le site d’impression de carte de visite choisi et c’est tout bon !

    Le résultat sur : http://www.cleguyadec.fr/. Je me suis même amusé à faire une mind map de mon CV (avec Freemind) que j’ai mis en ligne sur cette page : http://cleguyadec.fr/freemind.html.

  • Ubuntu 12.04

    Ubuntu 12.04

    Après quelques mois sous Voyager 12.04 LTS (une distribution basée sur Xubuntu) que je recommande chaudement car elle est stable et rapide, j’ai décidé de re-tenter l’expérience d’Ubuntu 12.04. Je dois dire qu’Unity s’est amélioré même si je ne comprend vraiment l’ergonomie du launcher. Est-ce pour se différencier qu’ils nous obligent à parcourir tout l’écran pour accéder au menu ? En plus, autant Unity est parfaitement adapté si on connaît ses logiciels  (on peut utiliser « speciale »+ « nom ») autant, c’est vraiment mal foutu pour explorer son menu par thème pour trouver un logiciel.

    Passons, Unity launcher est amené à évoluer et c’est un projet relativement jeune.

    L’objectif de ce billet est de me servir (et à d’autre également peut-être) d’aide mémoire. Je suis évidemment habitué à un certain nombre de logiciels et peut importe la distribution que j’installe, je refait souvent les mêmes manips.

    Commençons par l’organisation de mes disques. J’ai partitionné mon système de la manière suivante :

    • / en ext4
    • /home en ext4
    • swap
    • /fichiers

    En fait mon disque fichier contient mes dossiers classiques (Images, Document, Téléchargements, Vidéos, Modèles, etc.). Ceux que l’on trouve par défaut dans le dossier Home après une installe toute fraîche. Lorsque je formate, je modifie après l’installation le fichier user-dirs.dirs dans le dossier /home/monuser/.config afin de faire pointer les liens de mon environnement sur les dossiers de mon disque /fichiers.

    De cette manière, je conserve toutes mes données entre les formatages. En plus, cela me permet si je le souhaite de formater la partition /home en ne sauvegardant que les fichiers de configs qui m’intéressent.

    J’ajoute ensuite les ppa pour les logiciels non-dispos dans les dépôts : [sudo apt-add-repository ppa:…]

    • ppa:pmjdebruijn/darktable-release pour Darktable (que j’utilise pour le traitement de photos)
    • ppa:otto-kesselgulasch/gimp pour Gimp 2.8 (qui dispose du mode single window que je préfère)
    • ppa:tualatrix/ppa pour UbuntuTweak (pour pouvoir paramétrer mon bureau et les thèmes)
    • ppa:tombeckmann/ppa pour GWoffice (pour accéder à mes documents Google)
    • ppa:flozz/flozz (pour le terminal dans nautilus)

    J’installe Synergy depuis le site avec le .deb afin de partager le clavier et la souri entre mon poste portable et ma tour.

    J’installe tous les logiciels suivant :

    Darktable (photo), Gimp (traitement d’image), agave (palette de couleur), imagemagick (traitement d’image en ligne de commande), conky (surveillance du bureau), lightreader (un super lecteur pour google reader), Fogger (avec bookmarklet WordPress, plugin Postie), GCStar (pour la gestion de ma collection de films), Audacity (pour l’enregistrement), PiTivI (pour le montage vidéo), radiotray (pour écouter directement les radios en ligne), Ubuntutweak  (pour configurer les options du bureau), compizfusionsetting (pour les effet 3D), tomboy (pour la prise de notes), GWoffice (pour les google Docs), my-weather-indicator (pour la météo).

    J’ai également ajouté des lens Unity depuis Askubuntu par exemple. Il en existe quelques unes qui sont vraiment intéressantes (news, tomboy, gwibber, colourlovers, entre autres).

    Je change ensuite le thème du bureau.

    En pièce-jointe, j’ajoute un dossier qui contient mon thème d’icônes (Faience-ocre) et un thème Gtk3 et metacity que j’ai fait à partir d’un thème simple qui me plaisait (lien du thème original plus bas).

    Ubuntu.tar

    J’utilise également divers conky que j’ai adaptés ou créés. L’archive contient un dossier .conky. Il suffit de le copier dans le /home puis de modifiier la configuration des fichiers en fonction. Il faut placer le fichier todo.txt à la racine de /home/user. Compléter le fichier Gmail.py et remplacer « monuser » par le bon login dans les fichiers si vous voulez les utiliser.

    Voici ce que donne mon bureau après tout ça :

    Etant un adepte du terminal pour les tâches courantes, j’ai modifié mon fichier /home/user/.bashrc en ajoutant les alias suivants :

    alias sl= »sudo gedit /etc/apt/sources.list »
    alias install=’sudo apt-get install’
    alias reinstall=’sudo apt-get install –reinstall’
    alias finstall=’sudo apt-get -f install’
    alias update=’sudo apt-get update’
    alias upgrade=’sudo apt-get dist-upgrade’
    alias dupgrade=’sudo apt-get update && sudo apt-get dist-upgrade’
    alias remove=’sudo apt-get remove’
    alias autoremove=’sudo apt-get autoremove’
    alias purge=’sudo apt-get remove –purge’
    alias agp=’sudo apt-get autoremove –purge’
    alias agar=’sudo apt-get autoremove’
    alias add=’sudo add-apt-repository’
    alias search=’apt-cache search’
    alias clean=’sudo apt-get clean’
    alias autoclean=’sudo apt-get autoclean’
    alias sinstall=’sudo apt-get install –no-install-recommends’
    alias shutdown=’sudo shutdown -h now’
    alias key=’sudo setxkbmap fr’

    Et pour finir, je change le comportement de base du bureau dans les paramètres généraux, le passage de la souri sur le coin bas gauche affiche les fenêtres, droit le bureau. Un double clic sur la barre de titre repli la fenêtre et un clic centrale la réduit dans le launcher.

    Je pense avoir fait le tour ! (J’oublie juste que j’ajoute mon profil irc de calibration d’écran dans gnome color et que j’installe les pilotes propriétaires de ma carte graphique).

    Voilà pour finir les liens qui m’ont inspiré pour le bureau

     

  • Salle de bain

    Salle de bain

    Lorsque nous avons emménage,nous avons décidé de laissé de côté les travaux de la salle de bain puisqu’elle était fonctionnelle et que nous avions d’autres choses plus importantes à faire. Cependant, les murs étant en PVC blanc et le sol en lino bleu, nous avions prévu de nous atteler à sa réfection un été. Il s’est avéré par la suite que le lino n’était pas collé et que surtout, il ne couvrait pas l’intégralité du sol. Il n’était posé que jusqu’à la baignoire. Les joints étant âgés, l’eau coulait sous la baignoire, sur le parquet et à l’étage du dessous si l’on ne faisait pas attention. On à donc refait les joints et décidé de poser des congé cet été pour faire les travaux.

    – La salle de bain « historique » –

    On s’est chargé de tout ça la semaine dernière et une semaine n’était pas de trop. Heureusement que l’on avait planifié les choses à l’avance et réfléchis au matériaux et meubles ! Par chance, sous le lambris les murs et plafond étaient en bon état (si on excepte la tranché dans le mur pour encastrer la baignoire et les calculs fait au feutre sur les poutres). En revanche, la maison étant assez vieille, rien n’est droit. Que ce soit pour le meuble qu’on a conçu et réalisé ou pour la baignoire, il a fallu jongler avec les bosses et les angles non-conventionnels…

    Au final, on déposé le lambris, fait de l’enduit sur tout les murs, peint avec une peinture salle de bain et une peinture ultra-résistante à l’eau autour de la baignoire. On a également posé un parquet bateau , décapé et vernis les tuyaux de cuivre, remplacer l’arrivé du mitigeur de la baignoire dont les écrous étaient soudés et enfin, assemblé et posé le meuble qu’on à fabriqué sur mesure dans du bambou.

    On a donc maintenant une salle de bain de toute neuve. Voilà quelques photos du chantier et du résultat.

  • Rando dans les Pyrénées

    Rando dans les Pyrénées

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    J’ai fait il y a quelques temps une randonnées de quatre jours dans les Pyrénées. Cette randonnée a été organisée par Aline, accompagnatrice de montagne qui propose de nombreuses activités. En l’occurrence, il s’agissait d’une randonnée avec des ânes. Nous étions un groupe d’une dizaine de personnes, chacun portait un sac avec le nécessaire pour la journée. Aline et surtout ses quatre ânes s’occupaient de l’intendance (nourriture, tentes, etc.). Le gros avantage de cette formule c’est que l’on peut randonner pendant plusieurs jours tout en montant des campements fort bien équipés. Voici la carte approximative du chemin que nous avons parcouru :


    Afficher Rando pyrénées sur une carte plus grande

    On est parti de la route de super Barrége un peu dans le brouillard mais ça s’est vite levé

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    On a campé le premier soir au bord du lac vert

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    En prenant un peu de hauteur on avait une magnifique vue sur le lac bleu recouvert de brume

    Nous avons ensuite longé le lac, passé un col, traversé une vallée pour installer notre second campement au bord du  lac d’Ourette au milieu des vaches et des chevaux

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    Le lendemain, nous sommes repartis, direction le lac d’Isigny ou nous avons campé

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    Enfin, pour le retour à la civilisation, nous avons traversé la forêt (on a dû affronter une armée de taons)

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    Puis parcouru une corniche (malheureusement la brume nous a masqué le paysage)

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    Au final, la randonnée est vraiment très sympas, très bien organisé, accessible (pas trop fatigante) et ça fait du bien de déconnecter un peu. Par contre, j’ai bien retenu la leçon, ne surtout pas oublier de mettre de la crème solaire dès le départ même s’il est tôt et que le soleil est caché par les nuages, sinon on le regrette pas mal pour le reste du trajet !

    Voilà une petite vidéo mêlant images et film des différents campements :

    Et quelques photos supplémentaires en couleurs :

    Et en noir et blanc :

    Dans tous les cas, je ne peux que recommander chaudement de contacter Aline si ce type de rando vous intéresse :

    http://www.chemine-avec-aline.com/

  • CV – html5 et CSS3

    CV – html5 et CSS3

    J’ai depuis quelques temps mon CV au format html qui traine dans un dossier. J’envisageai initialement de faire un CV avec uniquement html/css dans un même fichier et sans image afin d’avoir quelque chose qui soit portable. Finalement, j’ai intégré ma photo et du coup j’ai ajouté des puces pour égayer les rubriques.

    Surtout, j’en ai profité pour me mettre à jour côté html et css. Je dois dire que je suis vraiment impressionné par ce qu’on peut faire avec ! Au final, j’ai fait deux modèles, les seules images sont les puces et la photo. Toutes les ombres, bannière de titre, etc. sont faite avec du CSS.

    Les deux ont été validés html5. Pour le fun, j’ai ajouté un peu de javascript en utilisant jQuery pour avoir un scroll doux et également pour réaliser le menu de navigation du second modèle.

    Au final, je pense laisser le second modèle en ligne comme il passe mieux sous IE mais je ne sais pas encore. Les deux sont consultables ici (1) et ici (2).

    Pour finir, une liste de liens que j’ai utilisé, qui m’ont inspiré et qui sont très utiles :

  • Fête médiévale

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    Cela faisait un moment que je n’avais rien posté ! Du coup j’en profite pour ressortir des photos de la fête médiévale qui a eu lieue à Nogent-le-Rotrou en mai dernier.Toutes les photos ont été traitées avec Darktable. J’ai un peu forcé sur le traitement pour le fun.

  • Fabriquer un stand pour Ukulélé en 5 minutes

    Fabriquer un stand pour Ukulélé en 5 minutes

    Lassé de poser mon Ukulélé un peu partout après avoir joué un morceau, je me suis dit « Hey, pour quoi ne pas fabriquer vite fait un stand ! ». Je n’ai pas cherché très loin, j’ai des tonnes de cartons dans la cave donc j’ai pensé à faire une sorte de trépied dimensionné pour l’Ukulélé. J’en ai découpé un approximativement puis, j’ai mesuré le résultat pour faire le plan final.

    Il suffit de reporter les mesures du schéma, de plier et de relier avec deux morceaux de cartons pour fixer le tout.

    J’ai n’ai pas passé plus de 5 à 10 mn et ça ne coute rien, il suffit d’un morceau de carton, d’une paire de ciseau ou d’un cutter et de quoi prendre des mesures. Évidemment le patron peut-être adapté selon la taille de l’Ukulélé. Il est aussi envisageable de faire quelque chose de plus solide et esthétique avec du contre plaqué et des charnières pour le rendre pliable. La stabilité est là, je verrais à l’usage la solidité du truc.