Je me suis mis au Ukulélé depuis quelques semaines et à Guitare Pro 6 par la même occasion. Ce logiciel n’est pas libre mais les développeurs l’on porté sous Linux et il est vraiment génial pour progresser et composer.
Comme pour la guitare j’ai une flemme phénoménale pour apprendre des morceaux d’Ukulélé donc j’improvise. Il s’avère que je trouve ça beaucoup plus intuitif avec l’Uku qu’avec la guitare. Les accords sont plus simple et la gamme tombe facilement sous les doigts. En tout cas, voilà une petite compo (qui est très inspiré de je ne sais pas quoi mais en la jouant je pense avoir déjà entendu ça quelque part) :
Je me suis même enregistré pour le geste : [audio:https://www.rienadire.fr/wordpress/wp-content/uploads/2012/05/uku.mp3|titles=uku]
Et si ça intéresse quelqu’un j’ai la tablature en .gpx
J’ai fait quelques photos avec le Voigtlander Vitoret. J’ai développer la pellicule mais je n’ai pas encore fait de tirage. Voilà en tout cas les scans du négatif. Je n’ai pas retouché les images si ce n’est le contraste. Comme c’était une pellicule de test, je n’ai pas fait dans l’artistique, j’ai fait toutes les photos en 20 mn autour de chez moi. Je suis assez content du résultat. Comme l’exposition et la mise au point sont faites au jugé je trouve que c’est plutôt pas mal !
Sinon, Pascal de Bruijn à mis à jour son PPA et donc Darktable 1.0 est dispo pour Precise Pangolin. Je tenais aussi à signaler que l’intégration de Gnome-color-manager permet une vrai gestion de la couleur pour tous les périphériques (écran, scanner, imprimante, etc.). Surtout, lorsque l’on branche un colorimètre – le Spyder 3 en tout cas – Gnome-color-manager s’ouvre et permet de calibrer directement son écran ! Ça commence à devenir vraiment simple de gérer ses photos sous Linux : Shotwell et robuste et pratique, Darktable est un très bon derawtiseur et on peut gérer les profils colorimétriques de manière simple.
Hier j’ai trouvé sur le marché aux Vans un vieil appareil Voigtlander (le modèle Vitoret , produit en 1961). L’appareil semblait fonctionner donc je l’ai pris. Je l’ai démonté un peu pour voir ce que ça donnait et tout m’a l’air en ordre. Voilà quelques photos des opérations :
C’est assez simple, il suffit d’enlever les vis sur les côtés et derrière le déclencheur. Ensuite, en ouvrant et bloquant la tige qui tiens la pellicule on peu dévisser le mécanisme et retirer le capot. De cette manière, on peut nettoyer le viseur et le boîtier. J’ai commencé à retirer l’objectif mais l’opération est plus délicate. En plus, l’objectif était propre et l’obturateur marche bien donc j’ai préféré remonter le tout avant de faire une bêtise.
Mais bon, c’est un appareil très simple sans cellule avec quatre vitesses donc le choix est limité. Il ne me reste plus qu’à charger une pellicule et à voir ce que ça donne !
Sinon, j’ai découvert la joie de synchroniser son mobile avec son compte Ubuntu One ! Je fais une photo et hop, elle se retrouve sur mon PC et je peux l’utiliser pour illustrer mon article.
Enfin, dernière chose que je souhaitais signaler : j’ai ouvert un coin bibliothèque sur le site (http://www.rienadire.fr/Bibliotheque/_catalog/). En fait j’ai découvert l’extension calibre2opds qui permet de générer un catalogue opds et html de sa bibliothèque d’ebook. En mettant ensuite en ligne le dossier de bibliothèque de Calibre contenant le catalogue on peut partager une bibliothèque. On peut également faire la même chose sur un compte de Cloud computing pour avoir une bibliothèque multi-poste synchrone.
J’ai appris au passage que pour lancer un .jar il fallait utiliser :
Il y a quelques temps je suis tombé sur le principe des PirateBox. Il s’agit en fait, dans l’idée, de créer un réseau alternatif mobile auquel les gens puissent se connecter pour échanger de manière « anonyme ». On met en place un mini hotspot wifi (mobile ou non) sans logs et qui n’est pas connecté à internet. Les gens dans les environs peuvent se connecter pour échanger librement. L’objectif est bien évidement de promouvoir la culture libre et donc d’échanger des fichiers en copyleft.
Un prof Lillois à lancer le truc en France en traduisant le wiki anglais. On peut, pour quelques dizaines d’euros, acheter le routeur et une clé usb et monter sa PirateBox (plus d’infos ici).
Je me suis fait la réflexion suivante : mon téléphone mobile est capable d’embarquer de l’espace de stockage et de me servir de modem wifi. Ne serait-il pas possible de le transformer en PirateBox ? La réponse est bien évidemment « Oui » !
Attention, pour pouvoir utiliser votre téléphone comme une PirateBox il faut qu’il soit en mesure de servir de point d’accès mobile (tethering). Dans mon cas, étant chez Freemobile avec un mobile acheter à part je n’ai eu aucune modification à apporter. Si ce n’est pas votre cas il faut passer par les étapes suivantes (au risque de faire sauter votre garantie) :
Vous installez l’application « Wireless Tether for Root Users » disponible dans GooglePlay
Vous pouvez ensuite installer et configurer votre PirateBox. Il existe une version modifiée de PAW qui crée directe une PirateBox c’est plus simple mais moins complet. L’utilisation du plugin permet plus de maitrise :
Vous installer l’apk du serveur PAW disponible dans GooglePlay
Vous dezipper le plugin PirateBox de Paw (ici) dans /sdcard/paw/html/app/plugins
Vous lancer Paw
Vous lancer le tethering (attention, cet ordre est important)
Vous vous connecter à Paw avec un Pc (via l’adresse affichée sur votre mobile)
Vous installez le plugin PirateBox
Vous coupez Paw et le tethering
Vous lancez le tethering puis Paw et le tour est joué
Si vous voulez, vous pouvez utiliser le fichier suivant (en l’enregistrant dans un fichier server.xml et en le plaçant dans votre dossier /sdcard/paw/conf/server.xml) pour configurer votre serveur et modifier la taille limite d’upload :
Votre dossier piratebox correspond en fait au dossier /sdcard/paw/html/app/plugins/piratebox_plugin. Dans /html vous trouverez la page d’accueil ainsi que votre dossier d’upload. Vous pouvez utilisez les fichiers suivant : piratebox en remplacement de ceux du dossier pour avoir une version localisée (pour le readme j’ai utilisé celui de http://piratebox.c.la/).
Attention : Le fait d’ouvrir votre mobile en point d’accès wifi va faire le lien avec votre forfait data. Pensez bien à couper votre réseau mobile pour éviter les mauvaises surprises (d’autant que le but de la PirateBox n’est pas de surfer sur internet 😉 ) et surveillez votre batterie qui va fondre comme neige au soleil !
Edit : Pour faire suite au commentaire, je me rend compte que je n’ai effectivement pas précisé comment accéder à la page Pirate Box. Lorsque tout cela est fait, votre mobile va servir de borne wifi. Il faut donc vous rendre dans paramètres->wifi et réseau sans fil->Partage connexion/point d’accès mobile et choisir point d’accès wifi (en configurant les paramètres de nom du réseau et mot de passe). Ensuite, il suffit normalement de se connecter via un PC avec wifi sur le réseau créé et de lancer le navigateur internet et la page web est normalement accessible.
Juste pour info, si comme moi vous avez eu envie d’utiliser votre sonde Spyder 3 sous Ubuntu 11.10, vous avez sûrement constater que ça ne fonctionnait pas (alors que c’était le cas sans aucun problème sur les versions précédentes). Lorsque’on branche la sonde, si on fait un petit lsusb on se rend compte qu’elle apparaît puis qu’elle disparaît.
En fait il s’agit d’un bug référencé comme tel qui vient de libmtp. Il faut donc soit installer libmtp8 (ce qui fait perdre Banshee et vlc) ou plus simplement renommer mtp-probe afin qu’il arrête de kicker la sonde…
On peut alors lancer la calibration de son écran avec Argyll ou dispcalGUI. D’ailleurs, si par hasard vous ne pouvais pas lancer la calibration dans dispcalGUI vérifiez, en le lançant dans un terminal, qu’il arrive bien à trouver l’écran. Pour moi, en le lançant dans le terminal il m’affichait device does not exist et je ne pouvais donc pas calibrer. Il faut dans ce cas d’aller dans options=>détecter les périphériques d’affichage et de calibration et c’est bon.
Quand vous avez fini il suffit de re-re-nommer le fichier et le tour est joué :
Je suis à peu prés en retard sur tous ce que j’ai décidé d’écrire pour le blog mais bon, c’est pas bien grave.
J’ai bien envie de m’intéresser d’un peu plus près aux procéder anciens ou alternatifs de photographie. J’ai testé il y a quelques temps le cafénol comme révélateur et c’est assez impressionnant. En fait il s’agit de fabriquer un révélateur pour du papier argentique de manière assez simple à partir de café, de cristaux de soude de vitamine C. Évidemment le café va teinter le papier et faire l’effet d’un virage donc il faut aimer la teinte un peu surannée que ça donne mais c’est marrant, facile et pas chère.
La recette est très simple : on mélange à température ambiante 80 g de cristaux de soude (lessive saint-marc en supermarché), puis, 40 g de café soluble (en supermarché également) et enfin 4 g d’acide ascorbique (en poudre en pharmacie). En gros on prend genre 200 ou 300 ml d’eau, on mélange les ingrédients précédents dans cet ordre et on complète à 1 L. Le résultat est un révélateur bon marché et de bonne qualité en plus !
Voilà deux scans bruts de photos pour illustrer (j’ai pas fait vraiment d »effort pour les tirages, c’était juste histoire de tester) :
Sinon, hier il y avait une brocante et on a acheté pour 10 euros un polaroid 1000 avec son flash et sa sacoche. Il a l’air en bon état et j’ai bon espoir qu’il fonctionne.
J’ai regardé du côté de The Impossible project et je vais commander une pellicule de SX-70 pour voir. Si ça marche j’aimerais bien tenter le peeling pour récupérer le négatif et tenter ça :
Wouhou, la V1 de Darktable est sortie ! Ce logiciel cartonne vraiment. Il reste assez instable sur certain plugins mais si on les identifies il n’y a pas trop de problèmes (je pense notamment à l’égaliseur). En tout cas, pour fêter ça j’ai ressorti les dernières photos que j’ai fait (en testant mon tout nouveau vélo \o/) autour du bassin d’orage à côté de chez moi. J’ai fait cette série en gardant en tête mon expo Flickr . Voilà le résultat après un passage sur Darktable :
Ce week-end on était dans le massif du Sancy au Mont Dore. On fait du ski de fond et une rando en raquettes. Il faisait beau ce qui était assez sympa pour les photos mais nettement moins pour la neige !
En tous cas, voilà quelques photos de ce week-end :
Qu’est-ce que BigBlueButton ? Il s’agit d’un logiciel de webconférence Open source. Il permet de réaliser des formations et des présentations à distance. Destiné aux entreprises et au monde de l’éducation, la dernière version (encore en bêta) permet également d’enregistrer la vidéo de la session afin de constituer une banque de cours par exemple. BigBlueButton permet également la visioconférence, le chat (nominatif ou général), la VOIP, le partage de bureau, la présentation de fichiers (.ppt, .doc, .pdf, etc.), etc. Tout ce qu’il faut quoi ! Il peut aussi être intégré dans un site WordPress par exemple.
Une petite vidéo de la bête (côté « étudiant ») :
Je trouve qu’il s’agit d’une initiative extrêmement intéressante. Le souci (en quelque sorte…) c’est que pour l’utiliser ou le tester il faut l’installer sur un serveur. Il ne s’agit pas d’une application que chaque participant installerait sur son pc, BigBlueButton doit être installé sur un serveur accessible aux utilisateurs. Voilà donc la marche à suivre pour installer la dernière bêta de BBB sur une machine virtuelle sur votre poste et la manière de configurer votre réseau pour l’utiliser avec vos amis (si vous en trouvez qui ont envie de jouer avec vous à faire des webconférences bien sur !).
1 – Installation du serveur virtuel :
On va faire simple, on peut trouver sur le site de BBB un lien contenant une machine virtuelle prête à l’emploi avec la version 0.7 de BBB : http://sourceforge.net/projects/bigbluebutton/files/ (il faut prendre la 0.71a). Le plus simple c’est donc de télécharger ce fichier, de le dé-zipper dans un dossier puis d’ouvrir la machine virtuel avec vmplayer.
Dans le cas ou vous souhaitez rester dans le monde de l’Open source, il suffit d’utiliser virtualBox. Vous créez une nouvelle machine de type linux avec Ubuntu comme distribution et à l’étape de dimensionnement du disque vous n’en créez pas un nouveau, vous allez rechercher le disque dans le dossier dé-zippé. Pour permettre un accès externe à votre machine virtuelle il faut également configurer la carte réseau de votre machine en mode pont.
Il faut obligatoirement être connecté à internet avant de lancer le serveur pour que l’installe se déroule bien.
Précision : BBB s’installe sur un serveur LTS Ubuntu 10.04. C’est qu’ils conseillent et je n’ai pas cherché plus loin. Dans le cas ou vous souhaitez tester la bêta directement il peut être plus simple d’installer votre machine virtuel avec la version serveur (ou pas) d’Ubuntu 10.04 puis d’installer BBB ensuite. En effet, la contrainte de l’utilisation de leur machine virtuelle si vous voulez passer à la bêta c’est qu’elle est en qwerty. Donc soit vous installez la localisation soit vous faite tout en qwerty.
2 – Mise à jour :
Vous pouvez d’ores et déjà tester votre BBB (mais tout seul….).
Connectez vous avec l’identifiant : firstuser et le mot de passe : default (à la première connexion il va vous demander par sécurité de re-saisir le mot de passe puis de configurer votre propre mot de passe). Il vous affiche alors l’IP de votre serveur et il ne vous reste plus qu’à ouvrir votre navigateur internet et à vous rendre à l’adresse indiquée.
Pour réaliser la mise à jour, on commence par faire :
sudo apt-get update
sudo apt-get dist-upgrade
Il faut ensuite installer ruby.
On commence par installer les paquets qui manquent :
Vous pouvez utiliser le fichier install-ruby.sh dans l’archive. Donc, si vous avez suivi la manip précédente :
sudo ./install-ruby.sh
On vérifie que tous s’est bien passé avec « ruby -v » et « gem -v » (qui doivent retourner respectivement « ruby 1.9.2p290 (2011-07-09 revision 32553) » et « 1.3.7 ») et que gem fonctionne :
Il reste maintenant à configurer le serveur et votre modem pour permettre un accès externe.
3 – Configurer l’accès réseau :
Il n’y a rien de très sorcier. Il faut que vous puissiez configurer votre routeur pour permettre l’accès extérieur et que vous disposiez d’une IP fixe ou d’un dns dynamique.
Pour les dns dynamique le plus simple et de passez par no-ip ou dyndns. Leur service gratuit est suffisant pour tester.
Commencer par ouvrir les ports (TCP) suivant de votre routeur : 80 (HTTP), 9123 (partage de bureau) et 9123 (RTMP). La configuration est donc la suivante : port d’entrée et de sortie = le port à ouvrir et IP = IP de votre serveur virtuel.
Ensuite, si vous utilisez un dns dynamique, il faut le configurer dans votre serveur. On va donc modifier le fichier host et la configuration réseau :
sudo bbb-conf --setip votreserveurdns.org
et on ajoute l’info au fichier host. Perso j’utilise nano en ligne de commande car je n’aime pas vim, il n’est pas installé par défaut donc :
sudo apt-get install nano
sudo nano /etc/hosts
et vous ajoutez au fichier : ip.votre.serveur.bbb votreserveurdns.org
Vous pouvez faire un petit redémarrage du serveur au cas où et c’est bon, vous pouvez enfin tester la dernière version de BigBlueButton et faire des supers webconférences !
Lorsque l’on pense à internet on y associe instinctivement l’idée de liberté d’expression ou d’information (en tout cas on le souhaite très fort). Notre génération est dans sa grande majorité consciente des apports d’internet ainsi que de ses dangers et de ses possibilités. De nombreux débats ont été soulevés récemment sur SOPA, ACTA et les différentes lois nationales et internationales « liberticides » ou visant tout du moins à permettre à plus ou moins brève échéance un contrôle accru par nos dirigeants des échanges sur internet. Ces débats on fait prendre conscience (je l’espère) à de nombreux internautes que la question de la liberté sur internet n’était pas si acquise que ça…
Adepte du logiciel libre depuis plusieurs années maintenant je suis plus que convaincu par ce modèle de développement aussi bien du point de vue technique que du point de vue de la philosophie sous-jacente de partage, d’échange et d’entraide. J’en profite d’ailleurs pour évoquer une action que viennent de lancer conjointement trois acteurs majeurs du libre en France : https://packliberte.org/.
Toujours est-il que la question de la liberté d’expression et d’action est assez fortement relayée mais la liberté d’information ? Un débat lancé sur NewsRing hier (et très peu suivi…) m’a relancé sur une information que j’avais déjà diffusée il y a quelques temps mais sans faire de billet sur le sujet : les moteurs de recherches libres. Lorsque nous naviguons sur internet les informations que nous sommes en mesure de consulter sont bien évidemment celles qui ne sont pas bloquées par les FAI (ou tout autre instance) mais surtout, celles que l’on est en mesure de trouver au travers de notre moteur de recherche favori !
Le débat en question était : « les moteurs de recherches vont-ils restreindre notre perception du monde ? ». En effet, en Europe, 90% des recherches passent par Google. Nos recherches mais également celles des gens qui nous informent ! Sans bien sur imaginer un complot de Google pour dominer le monde (hein ? Qui a dit ça ?), il semble légitime de se poser la question du référencement et du tri de l’information. Les moteurs de recherches sont devenus des outils tellement naturel que l’on ne se pose même plus la question. Qui a entendu parlé de Blackle ? Une version customisée de Google affichant un fond noir plutôt que blanc permettant ainsi d’économiser beaucoup d’énergie au vue du temps passé sur Google ?
Il s’agit pourtant d’une idée simple, peu contraignante dans son usage quotidien mais qui est passée relativement inaperçue car il ne nous viendrait pas à l’idée de faire une recherche sur « les moteurs de recherches » et surtout de changer nos habitudes.
L’idée derrière tous ça c’est que finalement, notre crainte – justifiée au non – de la censure gouvernementale est peu de chose face à la menace insidieuse de la manipulation ou de la censure que serait en mesure d’exercer sur nous les moteurs de recherches. Cette censure pourrait de plus être appliquée de manière totalement transparente pour l’utilisateur qui ne verrait tout simplement pas le résultat en question. C’est bien ce qu’il se passe en Chine par exemple.
Le quasi-monopole exercé actuellement par les grands acteurs de ce marché amène à penser qu’il n’y a finalement pas d’autres alternatives que de compter sur la bonne volontés de ces entreprises…
Evidemment ce n’est pas le cas, le monde du libre est également de ce combat ! Le problème est toujours le même, relayer l’information.
Il existe un nombre (restreint) de moteurs de recherches nouvelle générations, des moteurs de recherches libres, anonymes et utilisant des concepts légèrement différents de ce qu’on connait. Plusieurs stratégie sont appliquées allant du méta-moteur de recherche qui réalise ses demandes sur un grand nombre de moteurs de recherches au moteur de recherche en peer-to-peer comme Yacy.
Evidemment je suis plus séduit par l’idée de Yacy car il me semble présenter l’alternative la plus viable à long terme pour ce qui est des garanties de transparence. L’idée est tout simplement d’avoir un moteur de recherche peer-to-peer. Sa puissance s’accroit donc avec le nombre d’utilisateurs, il est entièrement décentralisé (tous les « peers » sont égaux et il n’y a pas un organisme administratif central) et il n’est pas censurable et ne stocke pas le comportement des utilisateurs.
J’ai changé de PC et cela m’a amené à ré-installer Ubuntu 11.10 sur un PC Windows 7 tout propre. L’installation n’a pas posé de problème en elle-même mais j’ai cependant constaté que Unity se lançait par défaut en 2D. L’accélération graphique n’était pas disponible…
Mon Pc a comme carte graphique une Nvidia GeForce GT 520M. Le pilote supplémentaire étant bien installé, j’ai commencé à chercher la raison de la désactivation de la 3D. Le retour de la commande suivante :
/usr/lib/nux/unity_support_test -p
M’indiquait une erreur de segmentation et un soucis avec OpenGL. En plus, ma batterie semblait se vider passablement vite ! Après quelques recherches, je suis tombé sur bumbleblee et optimus. Il s’avère que les pc récents contiennent souvent deux cartes graphiques, une Nvidia et une Intel. les pilotes Windows sont en mesure de gérer cette configuration mais elle a tendance à poser problème sous Ubuntu. Les cartes sont mal gérées et consomment toutes les deux de la batterie (même celle qui n’est pas utilisée). Pour résoudre ce problème, il faut suivre les indications disponibles ici : http://forum.ubuntu-fr.org/viewtopic.php?id=565321. En voilà un résumé :
On ajoute les ppa pour Bumbleblee et les derniers pilotes stables de Nvidia :
Hé bé, ça fait un bon moment que je n’ai rien posté à propos de photographie ! Je commence à avoir un tas de photos qui s’accumulent sur mes cartes SD.
Comme je l’avais dit, je recherchai un appareil photo compact en complément de mon reflex (le D7000 est un peu gros pour l’avoir tout le temps avec soit…). J’ai choisi le Canon IXUS 220HS qui présente l’avantage d’être vraiment compact (il tient dans la paume de la main) et d’avoir, d’après les différentes critiques, une bonne tenue des hauts ISO. En plus, pour ne rien gâcher, on le trouve à moins de 150 euros.
Ça fait peux de temps que je l’ai et je n’avais pas vraiment fait l’effort de le tester autrement qu’en bloc-note pur et dur. A l’usage, il s’avère tenir ses promesses. Les photos à 1600 ISO sont exploitables, il est très petit, il n’y a pas besoin de le recharger trop souvent et il fait dans l’ensemble de bonnes photos. Il propose tout une panoplie de filtres amusants et facilement utilisables. C’est donc pour moi le parfait compagnon à garder dans sa poche au quotidien.
Voilà quelques photos prisent durant noël et brutes de capteur (aucune retouche si ce n’est une réduction pour la mise en ligne) :